Sport: Le Ministre des Sports et des Loisirs félicite Sita Sangaré, président de la FBF

Le Ministre des Sports et des Loisirs, le docteur Taïrou Bangré a reçu hier dans la soirée le Colonel Sita Sangaré, président de la Fédération Burkinabè de Football accompagné des membres du bureau exécutif de la structure. En effet, le premier responsable du football burkinabè est venu présenter officiellement son équipe au premier responsable du sport burkinabè. Le président Sangaré en a profité pour annoncer les grands chantiers de son programme de mandat. Quant au Ministre des Sports et Loisirs, il a tenu à féliciter la FBF pour le parcours des Étalons à la CAN 2017 et sa volonté de conduire le football burkinabè à des résultats probants. Le Dr Bangré a, au passage, livré les grandes lignes directrices de sa mission à la tête du département.

Coopération: La Côte d’Ivoire vers le renforcement de la collaboration en matière de Transport avec le Burkina Faso

Le ministre ivoirien en charge des Transports Amadou Koné a plaidé lundi, le renforcement de la coopération dans ledit secteur entre son pays et le Burkina Faso, notamment entre Air Côte d’Ivoire et Air Burkina, afin de permettre aux deux compagnies de réduire leurs coûts d’exploitations. Le Premier ministre burkinabè Paul Kaba Thiéba a reçu dans l’après-midi du lundi 13 mars 2017, une délégation ivoirienne conduite par le ministre en charge des Transports Amadou Koné. «Nous avons commencé à travailler ce matin avec le ministre des Transports du Burkina (Souleymane Soulama) et il était donc important pour nous de venir rendre une visite de courtoisie au Premier ministre (Paul Kaba Thiéba)», a affirmé le ministre ivoirien. Selon M. Koné, les échanges ont porté sur la réhabilitation du chemin de fer Ouaga-Abidjan  et de son prolongement, sur  le transport aérien et maritime, la fluidité routière sur le corridor Abidjan-Ouagadougou à travers le projet de construction de l’autoroute. Le ministre ivoirien des Transports a insisté sur le renforcement de la coopération  dans ce secteur, surtout en ce qui concerne le transport aérien, donc entre Air Côte d’Ivoire et Air Burkina afin de rendre supportables les coûts d’exploitation pour les différentes compagnies. Quant à la fluidité du transport de façon générale, la coopération devrait permettre d’assurer davantage la sécurité des personnes et de biens. «Nous sommes venu rassurer le Premier ministre que des dispositions sont prises par le gouvernement ivoirien en vue de sécuriser le port d’Abidjan», a précisé M. Koné. Amadou Koné a été nommé ministre des Transports de la Côte d’Ivoire en janvier dernier et vient donc d’effectuer sa première visite officielle au Pays des Hommes intègres. Agence d’information du Burkina

Chez nous: Le chef de diplomatie burkinabè au journal Sidwaya

Sur invitation de Monsieur Rabankhi Abou-Bâkr ZIDA, Directeur Général des Éditions Sidwaya , SEM Alpha BARRY, Ministre des affaires étrangères de la coopération et des burkinabè de l’extérieur a effectué hier dans l’après-midi une visite dans les locaux du journal Sidwaya. Après un tête à tête avec le directoire du journal, le Ministre BARRY a visité les differents departements et l’essentiel des installations du journal.Il a saisi également l’occasion de cette visite pour féliciter et encourager le Directeur Général et son équipe pour tout le travail qu’ils abbatent au quotidien dans des conditions souvent difficiles . Il a par ailleurs indiqué sa disponibilité à appuyer le journal pour des meilleures conditions de travail. Avant de prendre congé de ses hôtes, le Ministre BARRY a laissé un mot d’encouragement dans le livre d’or du » Journal de tous les Burkinabè ». DCPM/Affaires étrangères

Nord: Les attaques terroristes «ne pourront jamais faire plier notre peuple» dixit Salifou Diallo

Les attaques terroristes répétées dans la partie sahélienne du Burkina «ne pourront jamais faire plier notre peuple», a affirmé samedi, le président par intérim du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), Salifou Diallo, à l’ouverture du 2e congrès ordinaire du parti, à Ouagadougou. «Ces attaques  dont le sinistre dessein est de semer la peur et le désarroi au sein de nos populations,  de mettre à genoux notre économie et provoquer ainsi une désagrégation de notre société ne pourront jamais faire céder ni plier notre peuple», a indiqué M. Diallo. Le président intérimaire du MPP se dit convaincu que le peuple burkinabè, «par-delà nos différences d’opinions, d’options politiques ou idéologiques saura transcender ces clivages partisans pour s’unir dans un élan patriotique à même de relever le défi de cette guerre ignoble qu’on tente de nous imposer». Le Nord du Burkina Faso, frontalier du Mali et du Niger fait l’objet d’attaques  terroristes à répétition, depuis le premier trimestre 2015, et la dernière  en date est  celle de l’assassinat de Salif Badini, enseignant dans la province Soum. L’attaque la plus meurtrière est intervenue, le 15 janvier 2016, par un commando de trois assaillants qui a fait 30 morts  et  71 blessés en plein cœur de la capitale. Une attaque revendiquée, par le groupe Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Le  2ème congrès Ordinaire du MPP  s’est tenu du 10 au 12 mars 2017, sous  le thème : «mise en œuvre opérationnelle du programme présidentiel, quelles perspectives et quels engagements ?». En rappel, la rencontre qui s’est achevée hier dimanche a consacré la désignation de Salifou Diallo à la tête du parti majoritaire, en remplacement de Roch Marc Christian Kaboré. En effet, conformément à la Constitution du Burkina Faso, juste après son élection, le Président devrait léguer la gestion du parti. Agence d’Information du Burkina

Burkina: Bientôt une centrale hybride pour la plus grande entreprise minière du pays

En plus de sa centrale au fuel, IAMGOLD ESSAKANE bénéficiera d’ici la fin de l’année, d’une composante solaire de 15 MWc. Cet investissement de 20 millions de dollars US, devra permettra à la société minière d’économiser par an six millions de litres de carburant et de réduire ses émissions annuelles de CO2, de 18500 tonnes. «EREN Renewable Energy (EREN RE) et son partenaire Africa Energy Management Platform (AEMP) ont annoncé le 6 mars 2017, la signature d’un contrat d’achat d’électricité d’une durée de 15 ans avec la mine d’or d’IAMGOLD ESSAKANE S.A», lit-on dans un communiqué de presse. Selon la même source, «ce projet solaire de 15MWc, dont la mise en œuvre est prévue pour fin 2017, permettra à la mine de diminuer sa consommation de carburant d’environ 6 millions de litres par an, et de réduire d’environ 18500 tonnes, ses émissions annuelles de CO2». Le communiqué précise que le projet qui coûtera 20 millions de dollars US, vient en complément à la centrale énergétique de mazout lourd (fluel) existante de 57 MW et devrait créer 40 nouveaux emplois. «Ce projet solaire de 15 MWc ne représente qu’un début pour la mine Essakane. En effet, IAMGOLD est sur la bonne voie pour augmenter la proportion d‘énergies renouvelables à 15 % de ses besoins totaux en énergie au cours des deux aux trois prochaines années», poursuit le texte. Notons que c’est Essakane Solar SAS, une entité locale créée par les promoteurs du projet, qui exploitera la centrale solaire et qui vendra son énergie à la mine Essakane. En rappel, IAMGOLD Essakane SA, détenue conjointement par IAMGOLD Corporation (90 %) et par l’Etat burkinabè (10 %), est la plus grande mine d’or industrielle du Burkina Faso, située au Nord du pays, à 330Km de la capitale Ouagadougou. Agence d’Information du Burkina

Burkina: Nomination de Cheriff Sy, ce que les internautes en pensent

Le Conseil des ministres d’hier 9 mars a adopté deux (02) décrets au titre de la Présidence du Faso. l’un d’eux porte création, attributions, organisation et fonctionnement du Haut-représentant du Président du Faso. Le Président du CNT d’alors, Cheriff Sy, a été désigné pour occuper ce poste. Entre appréhensions diverses et encouragements, nous avons recueilli les avis des internautes. Pr Abdoul Karim Sango (Consultant) « Félicitations au koro chériff! Sans nul doute qu’il saura relever ce nouveau défi comme il sait le faire, du haut du statut de haut représentant du chef de l’Etat pour le bonheur du peuple burkinabè! » -Zangré Ezequiel (Communicateur) « Moi je pense que cette nomination n’a pas son sens. Est-ce qu’on a besoin de cela au Burkina Faso? Non je pense que cette nomination est seulement de la reconnaissance politique. » -Nabi Franck (Juriste) « Je pense qu’ainsi il doit représenter le chef de l’État dans ses missions lorsque ce dernier est indisponible. Mais selon moi le pouvoir en place exagére un peu trop avec ce genre de nominations. » -Serge Goumbri « Tout d’abord Chériff Sy n’est pas diplômate de formation, en ce que je sache. Alors que ce poste de représentant est à priori destiné à un diplomate de carrière. Par conséquent j’estime que le Président du Faso a nommé ce dernier en guise de récompense latente, car il a été clair que l’équipe de la transition a œuvré  de facto pour hisser le représentant du MPP aux élections présidentielles, à la tête victorieuse du pouvoir politique. Cette nomination est purement ancrée sur des liens d’affinité qui taisent leurs noms.» -Aminata Sini (Juriste) « Je crois que Roch ne sais plus comment gérer cette crise qui est là et qui s’éternise depuis un moment maintenant. On n’a pas besoin de représentant quand on est bien portant en plus même ses jours étaient comptés la constitution prévoit des dispositions pour ça.» -Gildas Sawadogo « C’est juste le partage d’un gâteau. Tu m’aides à venir au pouvoir, je te remercie par un poste sans importance pour la nation mai bien juteux ou tu pourras aisément te servir à temps plein. Mangecratie oblige ». -Dakuyo Benjamin « En ce qui concert la nomination de Cherif SY je pense que cè lome quil fo au président pour le conseiller et le répréenter a nimporte kel lieu, vu son bagage professionel et intellectuel moi sa ma pas étonner que le président le porte son choix. merci je lui souhaite plein succès dans sa mission. »

Football: Collina plaide pour la suspension de l’arbitre de Barcelone Vs PSG

Après l’incroyable défaite de leur équipe face au FC Barcelone mercredi soir en Ligue des champions (6-1), de nombreuses voix se sont élevées contre l’arbitre du match, l’Allemand Deniz Aytekin. Mais une voix compte sûrement plus que les autres, celle de Pierluigi Collina, célèbre ancien arbitre international et désormais responsable de l’arbitrage de l’UEFA. Selon le quotidien espagnol « Marca », l’Italien n’aurait pas du tout apprécié l’arbitrage et devrait décider, dans les prochains jours, d’écarter Aytekin des prochaines rencontres de Ligue des champions. Le quotidien précise néanmoins que si l’UEFA ne prévoit pas de sanctions elle peut procéder à une rétrogradation de l’arbitre ou à une simple « mise au frais ». Une ennième sanction qui viendra ternir l’image du football. Mais à quoi bon quand on sait que certains arbitres savent déjà qu’un important pactole les attend?

Universités publiques: la Lonab offre 600 ordinateurs au Cenou

«Les lots aux heureux gagnants et les bénéfices à la Nation entière», ce slogan de la Loterie nationale burkinabè (Lonab), bien connu des Burkinabè, est plus qu’une réalité. La natioanle des jeux a offert à ce titre au Centre national des œuvres universitaires (Cenou), 600 ordinateurs aux étudiants du Burkina Faso ce jeudi 9 mars 2017. En plus de son soutien traditionnel à la construction d’écoles et d’équipement en fournitures scolaires, la subvention du Fonds national pour l’éducation et la recherche (Foner), la Lonab dote le Cenou de 600 ordinateurs de bureau. D’un coût global de 400 millions de francs CFA, ces ordinateurs seront répartis entre les Cenou de Ouagadougou (300), Bobo-Dioulasso (150) et Koudougou (150). Consciente de l’importance de la maîtrise de l’outil informatique, la Lonab, en dotant le Cenou de ces ordinateurs, entend ainsi apporter sa modeste contribution à la promotion d’un enseignement supérieur de qualité. Par la même occasion, le Directeur général, Lucien Carama entend « renforcer les capacités techniques et opérationnelles des étudiants ». Aux étudiants bénéficiaires, M. Carama a demandé à ce que bon usage soit fait de cet outil de travail. «Je leur souhaite tous mes vœux de réussite et d’encouragements car nous sommes conscients de l’apport inestimable de ce secteur pour le Burkina Faso. Quant aux concernés, ils ont tenu a rassurer de l’utilité et du bon usage qui en seront faits. «Nous nous engageons et nous nous engagerons avec les équipes qui viendront après nous, à ce que ce matériel puisse être profitable aux étudiants et qu’il puisse contribuer positivement à des meilleurs résultats», a promis Néa Péma, au nom de l’ensemble des délégués des cités universitaires.  

Mine d’or de SEMAFO Boungou : Une marche pour la prise en compte des prestataires locaux

Plusieurs centaines de personnes ont marché,  jeudi matin, à Fada-N’Gourma, capitale de la région de l’Est du Burkina Faso,  pour protester contre la mise à l’écart des prestataires locaux dans la mine d’or de  SEMAFO Boungou, a constaté, sur place, un journaliste de l’AIB. Les manifestants qui ont parcouru des artères de la ville de Fada N’Gourma, exigent le respect des engagements à propos de l’exploitation de l’or, en vue, dans le village de Boungou, dans la commune de Partiaga, province de la Tapoa à environ 320 km à l’Est de Ouagadougou. Ils dénoncent la violation du code minier par l’octroi de marché de carburant à la société Total au détriment de MEGA Energie jusque-là fournisseur du site. Pour eux, il s’agit d’une «violation flagrante de l’article 101 du code minier qui intime à la société minière SEMAFO, la prise en compte des prestataires locaux et des compétences locales». Pour une première, des femmes avec des bébés au dos se sont mêlées à la danse. La pomme de discorde, selon Adoplhe Tankoano, un des organisateurs, est la mise à l’écart des prestataires nationaux et locaux au détriment de sociétés étrangères. Pour la circonstance, le marché central et les boutiques sont restés fermés. «Tuer les entreprises locales, c’est tuer le PNDES. Pas de Total à SEMAFO Boungou» ou «la population exige de SEMAFO, le respect du code minier, mais aussi la prestation des service à la région», pouvait-on lire sur les pancartes. Et un jeune d’ajouter : «On connait le désastre de l ‘or. Après l’exploitation, ils fuiront tous nous laisser avec les conséquences. On ne va pas accepter cela ». A Tankoano de tirer la sonnette d’alarme : « Nous ne sommes pas encore dans l’exploitation, mais déjà, on constate que la prestation est donnée à des sociétés étrangères au détriment des sociétés nationales et locales». Selon un mémorandum  parvenu à l’AIB, les responsables de MEGA énergie ont rencontré en juillet 2016 le président du groupe SEMAFO  à Ouagadougou en compagnie du PCA, du directeur national et de deux membres du conseil d’administration. « Ils nous ont félicités sur la présentation de notre société lors de notre mission à Montréal tenue du 9 au 14 juin 2016. Elles se sont engagées dans la mesure du possible à promouvoir les entreprises nationales», indique le document transmis au gouverneur de la région de l’Est en date du 8 janvier 2017. En outre, l’opérateur natif de la région qui a une forte présence dans le Gulmu, s’était engagé à reverser un montant  au litre de carburant à la commune de Partiaga et à promouvoir la main d’œuvre locale. Le gouverneur de la région de l’Est, Ousmane Traoré qui a reçu une délégation des marcheurs, n’a pas manqué de relever son incompréhension par rapport à la marche. Pour le premier responsable de la région de l’Est, les choses ne se font pas par des humeurs mais avec responsabilité. «Nous avons échangé avec les responsables de la SEMAFO  et la direction générale de Total sur nos préoccupations.  Nous ferons ce que nous pouvons faire à notre niveau. Et le reste, nous le transmettrons à qui de droit», a ajouté le gouverneur Traoré. Au Burkina Faso, de 2008 à 2015, le secteur minier a apporté plus de 916 milliards de FCFA de contribution directe au budget de l’Etat burkinabè. Des manifestations d’humeur des populations liées à l’exploitation des mines deviennent également de plus en plus fréquentes.   Agence d’information du Burkina

Situation nationale: l’ADP interpelle vivement le gouvernement burkinabè à « se reveiller »

L’Alliance pour la défense de la patrie (ADP) a animé une conférence de presse ce mercredi 9 mars 2017 à Ouagadougou. Pour ce faire, il a tenu pour responsable le gouvernement des maux qui minent la vie de la nation notamment les attaques terroristes à répétition dans le nord et la flambée des prix de certaines denrées alimentaires. Trois sujets d’actualités ! Les attaques terroristes à répétition dans le nord du pays, la réconciliation nationale et la flambée des prix de certaines denrées de premières nécessitées sont les sujets sur lesquels l’ADP appelle le gouvernement à assumer ses responsabilités et à assurer la sécurité des citoyens. Selon le président de l’ADP, Abraham Badolo, le seuil d’insécurité a atteint le niveau le plus inquiétant dans notre pays à tel point, estime-t-il, que les régions du Sahel et du nord sont en passe de devenir «la chasse gardée de mouvements terroristes». Il a pris pour exemple le double assassinat du directeur d’école et d’un habitant à Kourfayel dans le Soum. Deux responsables Il tient pour responsables les ministres en charge de la Sécurité et la Défense. M. Badolo dit ne pas comprendre qu’après avoir été victime de menaces de mort de la part des terroristes et après avoir été rassuré par le ministre de l’Education nationale sur la capacité de l’Etat à assurer leur sécurité, ces deux victimes aient été «sauvagement assassinées». «Cette situation sécuritaire que vit le Burkina Faso est révélatrice du tâtonnement et de la gestion approximative des affaires publiques par le pouvoir en place. Le manque de vision du pouvoir aux plans militaires, sécuritaires et politico-diplomatiques font courir à notre pays le risque de perdre sa partie nord au profit de cette horde de terroristes avec toutes les conséquences néfastes et inimaginables», a relevé le président de l’ADP. De son avis, le manque de réactivité de nos gouvernants actuels face à ces multiples attaques est assimilable à «de la négligence et à de la résignation». Un peuple qui souffre Par ailleurs, l’ADP s’insurge contre les augmentations de prix des produits de consommation et appelle le gouvernement à sortir de sa léthargie sur cette question particulière avant que «cette situation n’atteigne un seuil de non-retour». Pour ce faire, M. Badolo invite les filles et fils du pays à rester unis et solidaires car, c’est l’élément essentiel et capital à observer dans ces situations que traverse le Burkina Faso. Source : Fasozine