Le Premier ministre burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a déclaré à Dakar que la rupture des chaînes de servitude en Afrique est indispensable pour permettre aux peuples du continent de bénéficier pleinement de leurs richesses et d’atteindre un développement durable. Selon lui, tant que ces chaînes subsistent, les ressources naturelles et humaines restent captives d’intérêts étrangers, et la souveraineté politique, économique et culturelle des nations africaines reste compromise.
Briser les chaînes pour restaurer la souveraineté
Lors du panel « Renaissance : résilience, innovation, transformation » tenu en marge du Forum Invest In Sénégal, M. Ouédraogo a insisté sur la nécessité de la rupture des chaînes de servitude en Afrique pour garantir la souveraineté des nations africaines. Il a affirmé que les accords injustes hérités de la colonisation empêchent les populations de tirer pleinement profit des richesses produites par leur travail et leur innovation. Selon lui, seule une approche résolue permettra de transformer ces ressources en bénéfices concrets pour les citoyens.
Une intégration africaine pour la liberté des chaînes de servitude
Le Premier ministre a plaidé pour une intégration harmonisée du continent, où les frontières servent de passerelles plutôt que de barrières, permettant un développement partagé. Il a souligné que la rupture des chaînes de servitude en Afrique s’accompagne d’une politique régionale où les ressources nationales . Comme celles du Burkina Faso et du Sénégal, profitent à toute la région. Cette vision inclut la reconquête de l’identité culturelle et de la fierté africaine . Afin que les jeunes connaissent leur histoire et leurs héros et deviennent des acteurs responsables du développement.
Transformation nationale et reconquête du Burkina Faso
Sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré . Le Burkina Faso a engagé des réformes profondes dans la sécurité et la défense pour rompre les chaînes de servitude internes et externes. M. Ouédraogo a précisé que la rupture des chaînes de servitude en Afrique se traduit concrètement par la reconquête du territoire . Et la mise en place d’une sécurité durable, garantissant que les richesses nationales servent d’abord la population. Il a rappelé que cette dynamique de transformation illustre comment la rupture des chaînes de servitude en Afrique . Peut générer la paix, la stabilité et un développement durable.
Le Premier ministre a ajouté que l’investissement doit devenir un outil au service du peuple et non un moyen d’exploitation . Et que chaque citoyen africain doit être acteur de cette transformation. Selon lui, la rupture des chaînes de servitude en Afrique est la clé pour que les richesses produites par les Africains profitent aux Africains . Et pour que la souveraineté, la solidarité et la prospérité partagée deviennent réalité.M. Ouédraogo a insisté sur le fait que l’Afrique est un continent béni . Et que seule la rupture des chaînes de servitude en Afrique . Permettra de libérer le potentiel des populations et d’assurer un avenir de justice et de développement durable.
