Le décès du Grand Imam de Dédougou, El Hadj Famata Almamy Traoré, survenu ce lundi 3 novembre 2025 à Ouagadougou . Ainsi marque une perte importante pour la communauté religieuse et la société burkinabè. Réputé pour sa sagesse et son humilité, il a consacré sa vie à la guidance spirituelle des fidèles et à la promotion de la cohésion sociale.
El Hadj Famata Almamy Traoré a accompagné les fidèles de Dédougou pendant de nombreuses années, prônant la tolérance et le vivre-ensemble. Son rôle dépassait le cadre religieux : il participait activement aux initiatives locales de paix et de dialogue interreligieux, contribuant à renforcer l’harmonie dans une région confrontée à des défis sécuritaires et sociaux.
Contribution au dialogue interreligieux
Au fil des années, le Grand Imam a travaillé aux côtés des autorités religieuses et administratives . Pour encourager la collaboration entre différentes confessions. Grâce à son engagement, de nombreux programmes de cohésion sociale et de prévention des conflits ont été mis en œuvre . Faisant de lui une figure respectée au niveau national.
Héritage moral et spirituel
Le décès du Grand Imam de Dédougou laisse un vide dans la communauté, mais son héritage demeure. Sa vie et ses enseignements continueront d’inspirer les générations futures dans la quête d’une société plus fraternelle, tolérante et unie. Les valeurs de solidarité et de paix qu’il a promues sont désormais des repères pour l’ensemble de la population.
Décès du Grand Imam de Dédougou : Cérémonie et inhumation
Selon le programme officiel, la levée du corps s’est déroulée à Ouagadougou le lundi soir. La dépouille a été transférée à Dédougou, où l’inhumation est prévue ce mardi 4 novembre 2025 à 14 heures. Ainsi la cérémonie rassemblera les fidèles, les autorités religieuses, locales et nationales, ainsi que les proches de la famille.
Le décès du Grand Imam de Dédougou est un moment de deuil pour la ville et le pays. Son engagement pour la paix, la tolérance et le dialogue interreligieux constitue un modèle pour tous, et son héritage spirituel continuera d’influencer positivement la société burkinabè.
