Les violences électorales Tanzanie ont éclaté après les élections du 29 octobre, marquées par trois jours de manifestations intenses. Selon l’opposition, ces troubles ont fait plus de 2 000 morts, et les autorités ont arrêté des centaines d’individus qu’elles ont accusés de trahison. Par la suite, la présidente Samia Suluhu Hassan a remporté l’élection avec plus de 97 % des voix, après que les principaux partis opposants ont été exclus. Les jeunes ont vandalisé des bureaux de vote, des gares routières et des postes de police pour manifester leur colère.
La présidente de la Tanzanie a averti que les violences électorales Tanzanie pourraient compromettre l’accès du pays aux financements internationaux. Le pays dépend largement des fonds étrangers pour financer ses projets de développement, et la situation sécuritaire inquiète les bailleurs. Mme Hassan a invité son gouvernement à rechercher des ressources locales afin de réduire la dépendance aux fonds internationaux. Ces violences électorales Tanzanie mettent également en lumière les risques liés à la gouvernance et à la transparence lors des scrutins nationaux.
Violences électorales Tanzanie : mesures pour rétablir la stabilité
Après les violences, l’armée a déployé ses forces pour rétablir l’ordre, et le calme est progressivement revenu. La présidente a prêté serment et promis de rétablir la paix et la sécurité dans tout le pays. Une délégation du Commonwealth, dirigée par le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a rencontré les responsables gouvernementaux, les partis politiques et la société civile. L’objectif est de renforcer la stabilité et prévenir de nouvelles violences. Les violences électorales Tanzanie rappellent que la sécurité et la bonne gouvernance restent essentielles pour préserver le développement et l’accès aux financements internationaux.

















