Le dernier rapport de la Banque mondiale confirme une dynamique positive. La croissance économique du Burkina Faso connaît une nette amélioration, malgré un contexte mondial instable.
Présentée le jeudi 10 juillet 2025 à Ouagadougou, la note économique d’avril 2025 révèle des chiffres encourageants. La croissance économique du Burkina Faso est passée de 3 % en 2023 à 5 % en 2024. Ce bond s’explique par les réformes engagées dans les secteurs clés de l’économie.
Selon la Banque mondiale, ces résultats sont dus à des politiques publiques ambitieuses. L’État a misé sur l’investissement productif, l’assainissement des finances et la promotion du secteur privé. Ces efforts ont permis de stabiliser le cadre macroéconomique, tout en favorisant la relance des activités industrielles et agricoles.
Croissance économique du Burkina Faso : l’énergie au cœur de la transformation
Le rapport met un accent particulier sur le secteur énergétique. Pour maintenir la croissance économique du Burkina Faso, il est impératif de développer une énergie accessible, abordable et durable. En effet, le manque d’électricité reste un frein majeur à l’industrialisation.
La Banque mondiale recommande de renforcer les infrastructures de production, de stockage et de transport de l’énergie. L’exploitation du potentiel solaire est également une priorité. Des partenariats public-privé solides doivent accompagner ces ambitions. Ce virage énergétique permettra d’alimenter davantage de foyers et d’entreprises, tout en stimulant la productivité nationale.
Croissance économique du Burkina Faso : une trajectoire ascendante à consolider
Les perspectives à court et moyen terme sont optimistes. La croissance économique du Burkina Faso repose désormais sur une base plus résiliente. Toutefois, la Banque mondiale insiste sur la nécessité de surmonter les contraintes structurelles. Il s’agit notamment de diversifier l’économie, d’améliorer l’environnement des affaires et de renforcer la gouvernance.
En soutenant les chaînes de valeur locales, le pays peut créer plus d’emplois et réduire les inégalités. Une croissance inclusive reste l’objectif final de cette dynamique engagée.