Au Nigeria, 25 lycéennes ont été enlevées lundi dernier dans le nord-ouest du pays, suscitant l’inquiétude des familles. L’attaque a eu lieu avant l’aube dans un lycée de l’État de Kebbi, où les assaillants ont également tué au moins un membre du personnel. Une élève a réussi à échapper à ses ravisseurs, apportant des détails sur l’attaque. Près de soixante-douze heures après l’incident, les familles continuent d’exprimer leur inquiétude dans un contexte sécuritaire déjà très préoccupant. Les forces de sécurité locales restent mobilisées, mais la fréquence des enlèvements lycéennes Nigeria alerte la communauté internationale.
Les enlèvements lycéennes Nigeria interviennent dans une région où les bandits armés sont très actifs et pratiquent souvent des kidnappings contre rançon. Ces groupes ne sont pas directement liés à Boko Haram ni à l’État islamique Province d’Afrique de l’Ouest, mais leurs actions accentuent la peur dans les communautés. Depuis l’affaire de Chibok en 2014, au moins 1 500 élèves ont été kidnappés dans le nord du Nigeria, soulignant la gravité du problème. Les familles craignent que l’attaque de Kebbi compromette l’éducation locale si des mesures de sécurité supplémentaires ne sont pas prises.
Enlèvements lycéennes Nigeria : un appel urgent à la protection des élèves
Les parents appellent le gouvernement à intensifier la sécurité dans les écoles pour éviter que la situation ne se détériore davantage. Usman Muhammad, parent de deux élèves, souligne que les enfants n’oseront plus retourner à l’école tant que leur protection ne sera pas assurée. Les gouvernements des États ont pris des mesures ces dernières années, notamment en fermant certaines écoles temporairement, mais les attaques persistent. L’incident de Kebbi rappelle tragiquement que la prévention des enlèvements lycéennes Nigeria demeure un défi majeur. La communauté internationale et les autorités locales sont donc appelées à agir rapidement pour protéger l’éducation et la vie des élèves.



















