Le ministère du numérique lance une réflexion approfondie pour reconstituer l’histoire du ministère du numérique et des postes.
Depuis le 7 juillet 2025, le ministère en charge du numérique organise un atelier sur l’histoire du ministère du numérique. Cette initiative, pilotée par la Direction des Archives et de la Documentation (DAD), vise à mieux comprendre les différentes mutations du ministère.
L’activité réunit des agents du ministère et des représentants du Centre national des Archives. Elle se déroule jusqu’au 12 juillet et permettra de poser les bases d’un document de référence sur l’évolution de cette institution. Le conseiller technique Saïdou YANOGO a présidé la cérémonie d’ouverture.
Histoire du ministère du numérique : une démarche pour guider l’action future
Lors de son intervention, la Directrice des Archives, Hélène Pélagie PARE/KIKIETA, a expliqué le sens de cette démarche. Selon elle, l’histoire du ministère du numérique est marquée par de nombreuses transformations, liées aux contextes politiques et technologiques.
Pour les participants, l’objectif est clair : recueillir des données fiables, traiter les informations, puis rédiger une synthèse complète. Ce travail permettra de mieux comprendre les fondements de l’institution, ses missions successives, et ses différentes dénominations à travers le temps.
Ce type d’initiative n’est pas nouveau au Burkina Faso. En 2020, un travail similaire avait été mené par le ministère de l’Agriculture pour capitaliser ses évolutions structurelles.
Histoire du ministère du numérique : un outil de mémoire pour mieux se projeter
Dans son discours d’ouverture, M. YANOGO a salué l’engagement des participants. Il a rappelé que l’histoire du ministère du numérique constitue un outil stratégique pour planifier les actions à venir.
En documentant les réformes passées et les défis relevés, ce travail facilitera la continuité institutionnelle. Il permettra aussi aux nouvelles générations de mieux comprendre l’origine et la mission du ministère.
L’étude en cours s’inscrit dans la volonté de renforcer la mémoire administrative du pays et d’asseoir une gestion plus efficace du secteur numérique et postal.