Depuis un certain temps des voix s’élèvent au sein de la garde mixte du président du Faso pour dénoncer un traitement de faveur au profit d’un corps.
Selon des sources bien introduites un traitement de faveur serait fait au profit d’un corps au détriment des autres. Notons que la sécurité du président est assurée par trois corps à savoir la gendarmerie, la police et les militaires. L’on se souvient qu’au lendemain de la dissolution du régiment de sécurité présidentielle(RSP) une nouvelle unité appelée Groupement de sécurité et de protection républicain (GSPR) assure désormais la sécurité du président et des hautes personnalités.
Si deh le début l’enjeu majeur de cette unité était la cohésion des trois corps, force est de constater que près de six mois après son fonctionnement rien ne va. En effet selon notre source il n’existerait aucune coordination entre les trois corps même pire la police estime être lésée dans le traitement.
Selon notre source pendant que les autres corps bénéficient d’une astreinte (indemnité) liée à leur statut, elle en est privée de quoi à faire des frustrés au sein de la garde mixte.
En rappel "Au moins 400 hommes" forment actuellement l'unité "mais il est prévu que les effectifs soient revus à la hausse". Les effectifs pourraient être portés à 850 hommes.