La Banque mondiale a renouvelé, ce vendredi 4 avril 2025, son engagement en faveur du Burkina Faso. Lors d’une audience à Ouagadougou, le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a échangé avec la Directrice de division, Clara Ana De Sousa. Cette rencontre marque une nouvelle étape dans le soutien de la Banque mondiale au pays.
Clara Ana De Sousa a salué la vision des autorités burkinabè. Elle a insisté sur l’importance de projets concrets. Le soutien de la Banque mondiale vise à renforcer les secteurs essentiels tels que l’éducation, la santé, l’agriculture et l’emploi des jeunes.
Elle a affirmé que la Banque reste mobilisée face à la crise sécuritaire et sociale actuelle. De plus, elle a indiqué que l’institution est en phase avec les priorités nationales. « Nos équipes sont prêtes à accompagner les réformes ambitieuses », a-t-elle déclaré.
Un appui stratégique pour l’éducation et l’emploi des jeunes
La Directrice a également souligné le rôle central de l’éducation dans le développement. En effet, le soutien de la Banque mondiale prévoit un nouveau projet dédié à l’enseignement. Ce programme vise à renforcer les compétences des jeunes Burkinabè pour mieux affronter les défis mondiaux.
Dans un contexte économique instable, miser sur le capital humain devient crucial. Ce n’est pas la première fois que la Banque appuie l’éducation au Burkina. En 2017, elle avait déjà financé un vaste programme d’accès à l’enseignement primaire en milieu rural.
Soutien de la Banque mondiale : vers un partenariat durable
Enfin, Clara Ana De Sousa a réaffirmé l’objectif de bâtir un partenariat durable avec le Burkina Faso. Le soutien de la Banque mondiale ne se limite pas à des financements. Il inclut également un accompagnement technique sur le long terme.
À travers ce dialogue renouvelé, la Banque entend contribuer activement à la transformation structurelle du pays. Cette dynamique pourrait inspirer d’autres partenaires internationaux à intensifier leur présence au Burkina Faso.
Source : 𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞