Dommage qu'il n'a pas pu se rendre utile à la nation en aidant la justice à faire la lumière sur certains dossiers et "coups bas" dont il était l'un des maîtres incontestables. Dommage qu'il n'a pas pu montrer une autre façon de faire la politique.
Pour être appelé un "baobab", un "géant" de la politique, il faut laisser un héritage positif et incontesté. Être aimé par ses actions et ses paroles.
Que son départ permettra un renouvellement de la classe politique et le commencement d'une autre façon de gérer le pouvoir, sans calculs mais avec un seul souci: le bien être du peuple burkinabè.
Désolé d'être dur, je ne peux pas jouer à l'hypocrite. Paix à son âme et mes condoléances à sa famille.
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