Enseignement supérieur privé : le classement des meilleures écoles au Burkina

Classement des Instituts de formations

La direction générale de l’enseignement supérieur (DGEsup) a rendu public un premier rapport de suivi-contrôle des institutions privées d’enseignement supérieur (IPES) ce jeudi 31 août 2017 à Ouagadougou. Le but de ce rapport est de s’assurer du respect des dispositions du cahier des charges. Les résultats de ce rapport ont permis de classer les institutions … Lire la suite

Rentrée scolaire 2017-2018 : Le message conjoint des deux ministres de l’éducation

Ceci est un message des deux ministres en charge de l’éducation au Burkina à l’occasion de la rentrée scolaire 2017-2018.

Chères collaboratrices, chers collaborateurs de l’administration scolaire et universitaire,

Chères enseignantes, chers enseignants, Chers élèves et étudiants, chers partenaires,

Le 2 octobre 2017 consacre la rentrée scolaire et universitaire 2017-2018. Cette date inaugure une nouvelle page de notre système éducatif et comme il est désormais de coutume, nous saisissons l’occasion pour nous adresser à vous, acteurs et partenaires de l’éducation.

D’emblée, nous avons   une pensée pieuse pour les acteurs qui nous ont quittés. La Nation reconnaissante ne les oublie pas et les jeunes qu’ils ont formés les portent à jamais dans les sédiments de leur mémoire.

Avant d’évoquer les grands défis et les immenses chantiers qui nous attendent, il nous faut  jeter un regard rétrospectif sur l’année précédente. Durant l’année scolaire 2016-2017, notre école a connu des turbulences parmi lesquelles  la menace terroriste dans la région du Sahel mais fort heureusement, notre système éducatif a résisté héroïquement.  De même, les cas de violence, de vandalisme et d’incivisme sont en nette régression et, c’est le lieu de vous féliciter pour votre implication pour que l’école redevienne ce lieu d’apprentissage et de formation.

En droite ligne de la vision du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE,  nous avons poursuivi les réformes pour donner de  la cohérence et plus de pertinence au système éducatif. Nous continuons le renforcement de l’offre en infrastructures scolaires et universitaires tout en prenant en compte l’engagement du Chef de l’Etat de résorber les salles de classes sous paillote en 2020 et d’accroitre l’accès à la formation aux métiers.

Dans le souci d’améliorer la qualité de la chaîne de certification et de sécuriser nos diplômes, nous avons achevé l’informatisation du BAC, du BEPC et le processus d’informatisation du CEP est engagé.

 Avec l’appui des partenaires de  l’éducation, nous avons également engagé la modernisation de la gestion des ressources humaines, y compris l’utilisation plus efficiente des enseignants. Les multiples difficultés que nous avons connues à ce niveau devraient trouver des réponses adéquates dans un avenir proche. Il en est de même de la problématique des manuels scolaires dont la conception, l’édition, l’impression et la distribution feront l’objet d’un appui de professionnels du domaine afin de nous sortir de la récurrente question de la qualité et de la disponibilité des manuels à tous les niveaux.

Notre ambition de développer l’enseignement scientifique prend forme avec l’ouverture de 2 lycées scientifiques à Bobo Dioulasso et Ouagadougou en cette rentrée 2017-2018 et l’érection de deux autres pour la rentrée 2018-2019. Cette mesure est renforcée par l’équipement de 24 établissements secondaires généraux en laboratoires de biologie, chimie, physique, SVT, Maths et TIC. Dans la même logique, la prévision de construction de 11 structures d’enseignement et de formation technique et professionnelle souligne l’ambition de développer ce sous-secteur.

Par ailleurs, dès cette rentrée, le nouveau système de bourses scolaires adopté courant août 2017 par le gouvernement permettra d’appuyer les élèves qui seront orientés dans les filières scientifiques, techniques ou professionnelles. Ces mesures incitatives visent à combler le  déficit en scientifiques et techniciens.

Enfin, le chantier de la formation des personnels de l’éducation sera également ouvert avec une réflexion sur les conférences pédagogiques, la formation continue et l’encadrement pédagogique.

Chères collaboratrices, chers collaborateurs de l’administration,

Chères enseignantes, chers enseignants,

Cette année scolaire et universitaire, nous allons  poursuivre les réformes.

Au niveau de l’enseignement universitaire, la carte universitaire du Burkina a été renforcée pour cette rentrée, avec l’autonomisation des trois centres universitaires de Fada N’Gourma, Ouahigouya et Dédougou.

Nous avons entrepris  l’ouverture de classes préparatoires d’entrée aux grandes écoles pour élargir l’offre en termes de cadres dans les sciences et techniques.

En outre, les centres universitaires de Gaoua et Kaya  reçoivent leurs premiers étudiants dans ce mois d’octobre. On note également la création de l’université virtuelle du Burkina Faso et des centres universitaires de Tenkodogo et de Dori.

Nous abordons cette année académique avec 7 institutions d’enseignement supérieur publiques, opérationnelles dans 11 villes. En perspective, le gouvernement compte créer très prochainement l’Ecole Polytechnique de Ouagadougou. A côté de ces efforts du gouvernement, nous saluons la contribution des promoteurs privés par l’animation d’une centaine d’établissements, majoritairement concentrées dans les villes de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso.

Avec le contingent de nouveaux bacheliers, l’enseignement supérieur s’apprête à accueillir un effectif total d’environ 120 000 étudiants, dans le public et dans le privé. C’est un défi énorme à relever au regard des difficultés structurelles et conjoncturelles que connaît le système d’enseignement supérieur.

Chers  enseignantes, chers enseignants,

L’histoire est riche d’exemple d’enfants devenus célèbres qui, sans l’action bienveillante de leurs enseignants, n’auraient pas échappé à la fatalité de leur condition. Nous pensons à l’exemple d’Albert Camus qui, après avoir reçu le Prix Nobel de littérature écrivit à son instituteur Louis Germain, ces propos pleins de signification : « Sans vous, sans cette main affectueuse que vous avez tendue au petit enfant pauvre que j’étais, sans votre enseignement, et votre exemple, rien de tout cela ne serait arrivé ».

C’est cela qui fait de notre métier le plus beau et le plus redoutable comme le relève  le psychologue américain Haim G. GINOTT : « Je suis venu à une conclusion terrifiante que je suis l’élément décisif dans la classe… En tant que professeur, je possède un énorme pouvoir de rendre la vie d’un enfant triste ou joyeuse. Je peux être un instrument de torture ou un instrument d’inspiration. Je peux humilier ou guérir. »

Cher(e)s élèves, cher(e)s étudiant(e)s,

La Nation attend  de vous une attitude de rupture avec tous les comportements contre-productifs et espère que vous vous engagerez dans le travail et la quête de l’excellence. Vos parents ainsi que l’administration scolaire et  les enseignants se tiennent à vos côtés pour vous aider à faire de l’école un lieu d’apprentissage et de réussite, un espace de fraternité agissante et de mûrissement de vos potentiels. Allez au dialogue et exprimez vos craintes, vos peurs, vos insatisfactions, voire vos colères. C’est le rôle de l’école et de vos parents de vous entendre et de vous orienter.

Chers partenaires sociaux, Chers parents d’élèves

Nous croyons  fermement aux vertus du dialogue et en sa capacité de résorber tous les désaccords. De par le passé, nous avons dans le dialogue fait avancer la cause des travailleurs pour le grand bonheur de notre système éducatif. Nous vous réitérons notre  disponibilité au dialogue et à la concertation pour accompagner toute proposition de votre part qui serait bénéfique pour l’éducation, les élèves, les étudiants, les travailleurs  et  donc la Nation.

« L’éducation, c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’Etat qui la doit » disait Victor Hugo. La famille doit rester le premier foyer d’éducation ; sans elle, l’école est hémiplégique et son action elle ne peut que claudiquer. Ce sont nos actions conjuguées qui sont gages de réussite pour les apprenants. Aussi, en cette année nouvelle,  nous voudrions  vous renouveler nos félicitations pour votre contribution constante à la bonne marche de notre système et vous encourager à renforcer la collaboration avec l’institution scolaire et universitaire à travers vos différentes associations et individuellement dans le suivi du travail de vos enfants. C’est dans un compagnonnage étroit que nous allons conduire nos filles et fils  au succès.

Chères collaboratrices, chers collaborateurs de l’administration scolaire et universitaire,

Chères enseignantes, chers enseignants,

Chers élèves, chers étudiants, chers partenaires, chers parents,

Nous avons de grandes ambitions pour notre institution scolaire et universitaire  mais nous ne disposons pas de toutes les ressources, ce qui peut apparaitre à première vue comme un handicap ; cependant, à y regarder de près, cela peut être un terreau favorable à l’épanouissement de notre génie créateur. La volonté et l’imagination des individus sont les armes miraculeuses du changement. C’est pourquoi les acteurs de l’éducation doivent posséder ces deux valeurs cardinales car  comme le souligne Joseph Ki-Zerbo : « L’Education est le logiciel de l’ordinateur central qui programme l’avenir des sociétés »

Bonne rentrée pédagogique.

Vive l’école burkinabè !

Jean-Martin Coulibaly

 Ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation

Pr. Alkassoum MAIGA

Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation

Interview avec le Proviseur du Lycée Municipal Vénégré, Soumaila SEMDE

Les vacances, c’est bientôt fini, les bancs vont encore bouger. En effet, la rentrée scolaire est prévue pour le 1er octobre 2017, dans deux semaines. Entre problèmes de scolarité, de fournitures et de places, les parents d’élèves, certains en tout cas mènent une lutte pour « caser » leurs enfants. La difficulté d’obtention des places nous a … Lire la suite

Rentrée scolaire et problème de places: Le Proviseur du Lycée Municipal Vénégré s’exprime

Les vacances, c’est bientôt fini, les bancs vont encore bouger. En effet, la rentrée scolaire est prévue pour le 1er octobre 2017, dans deux semaines. Entre problèmes de scolarité, de fournitures et de places, les parents d’élèves, certains en tout cas mènent une lutte pour « caser » leurs enfants. La difficulté d’obtention des places nous a … Lire la suite

Éducation: Fini la journée continue

Un arrêté conjoint du ministère de l’éducation nationale et celui de la fonction publique pris, ce lundi 18 septembre 2017, fixe les nouveaux horaires de travail dans les établissements scolaires.

  • Dans les structures d’éducation préscolaire, les cours vont désormais du lundi au vendredi, de 8h00 à 11h30

  • Dans les écoles primaires et les centre d’éducation de base non formelle, les cours vont de 7h30 à 12h00 et de 15h00 à 17h00, du lundi au vendredi. Sauf le mercredi, où les élèves auront désormais cours de 7h30 à 12h00. Il n’y a donc pas classe, le mercredi soir.

  • Pour ce qui est du post primaire et du secondaire, les cours vont de 7h00 à 12h00 et de 15h00 à 17h00, du lundi au vendredi. Sauf le mercredi, où les classes s’ouvrent à 7h00 pour se fermer à 12h00. Il n’y a plus cours, samedi et dimanche. C’est valable aussi pour le préscolaire et le primaire.

Le présent arrêté, qui sera sans doute le bienvenu aussi bien chez les enseignants que chez les apprenants, entre en vigueur à partir de la rentrée scolaire 2017-2018 et abroge ainsi l’arrêté conjoint n°2015-0004/MENA/MFPTSS du 11 janvier 2016 portant organisation des horaires de travail des structures éducatives de l’Education de Base.

Classement du Ministère en charge des enseignements Supérieur sur les bon établissements au Burkina: L’IAM réagit

Dans un récent "classement" des Institutions Privées d’Enseignement Supérieur (IPES) du Burkina Faso, l’Institut Africain de Management (IAM) Ouaga, label de qualité, s'est retrouvé, à tort, dans la catégorie des IPES de moyenne qualité, une erreur que les auteurs dudit classement ont reconnue et se sont engagés à corriger dans les meilleurs délais.

Mais en attendant cette correction, nous tenons à informer les étudiants, les parents d'étudiants et l'opinion publique que, contrairement à ce qui a été publié dans la presse, IAM répond à la quasi totalité des points ayant fait objet de l'évaluation des IPES au Burkina Faso.

Ces points sont les suivants :

1- l’organisation et la gestion administrative, à travers la vérification :
- des autorisations d’ouverture ;
- de l’identité et du niveau d’études des directeurs administratifs et financiers ;
- de la tenue régulière d’assemblées d’établissement et de conseil scientifique ;
- du dépôt des rapports de début et de fin d’année.
2- la gestion financière, à travers la vérification :
- de la régularité des traitements salariaux ;
- de l’effectivité de la déclaration des agents à la CNSS.
3- la gestion pédagogique par la vérification :
- de la conformité des niveaux et des filières ouverts à ceux autorisés ;
- de la détention d’au moins une attestation CAMES en cours de validité pour les IPES d’au moins 5 ans de fonctionnement ;
- de la conformité du niveau d’études des enseignants qui interviennent dans l’établissement ;
- d’un pourcentage de 50% d’enseignants permanents sur l’ensemble des enseignants atteint pour les IPES d’au moins 5 ans de fonctionnement.
4- Les infrastructures et les équipements :
- le nombre et l’état des salles de cours ;
- l’hygiène et la sécurité.
5- Les dispositions légales :
- l’existence ou non de visa de publicité ;
- la périodicité des publicités.

Suite à une rencontre avec les autorités en charge de cette évaluation, il est ressorti que beaucoup d'informations et de justificatifs fournis par IAM n'ont pas été pris en compte. Pourtant ces informations répondent, point par point, aux critères exigés et vont même au-delà de ce standard.

Notre démarche qualité appliquée depuis 10 ans nous a permis de faire accréditer dix-sept (17) diplômes dans différentes filières d'enseignement supérieur auprès du CAMES qui est la référence de l'enseignement supérieur en Afrique francophone.

Depuis sa création en 2007, IAM Ouaga, en collaboration avec des universités partenaires en Europe, au Canada et aux USA, a fait de la qualité son leitmotiv. C’est pourquoi, très vite, il a rempli les conditions optimales du cahier des charges du Ministère en charge de l’Enseignement supérieur.
IAM, en moins de 10 ans, s'est positionné parmi les Instituts les plus renommés dans l’univers des Instituts supérieurs de formation en Afrique. Il s’est illustré très vite par des offres de qualité adaptées à nos réalités et en phase avec le marché de l’emploi.

Sa démarche qualité qui lui vaut ce pesant d’or s’articule, entre autres, autour du choix et de la qualification des enseignants, de l’évaluation permanente des enseignements, de la méthodologie et des outils didactiques, des infrastructures, du suivi ainsi que de l’insertion des diplômés dans le monde du travail.
Nous avons donc été surpris du rang qui nous a été attribué dans ce classement, lequel ne correspond pas à la réalité.

Comme cela nous a été promis, IAM s'attend à ce que les auteurs de ce classement prennent en compte tous les éléments qui ont été mis à leur disposition et qui sont la preuve tangible que notre Institut répond à tous les critères requis pour faire partie des Instituts de trèsbonne qualité.
La Direction Générale de IAM

Lire aussi 

http://wakatt.com/2017/09/12/voici-liste-etablissements-bien-notes/

 

Éducation: Journée continue, 83% des responsables d’établissements scolaires disent NON! (rapport)

Selon un rapport rendu public hier mardi par le ministère en charge de la Fonction publique 65% des agents publics, 64% des usagers et 60% des partenaires sociaux de l’Administration publique veulent le maintien du système de journée continue instauré en septembre 2015 dans l’administration publique.

L’enquête réalisée qui a servi à la rédaction du rapport, montre que l’instauration de la journée de travail continue a augmenté le temps de présence des agents à leur poste de travail, ainsi que leur productivité.

A contrario 83% des responsables d’établissements souhaitent sa suppression. «L’application de la journée de travail continue (JTC) dans le secteur de l’enseignement est visiblement problématique à cause de l’absence de mesures d’accompagnement tels les cantines, l’horaire inadaptée et l’insuffisance de temps de repos pour les élèves et les enseignants», souligne le rapport.

Le secrétaire général de la modernisation de l’Administration et de la bonne Gouvernance,  Jacques Sosthène Dingara a réaffirmé qu’il appartient aux acteurs de l’éducation d’adapter la journée continue aux exigences du secteur, comme l’autorise le décret qui l’a instituée.

Tout compte fait, des concertations seront engagées avec tous les acteurs, quels qu’ils soient, afin de pouvoir adapter le système à la dynamique de tous les secteurs, a soutenu le représentant du ministère en charge de la Fonction publique, Allahidi Diallo.

Avec AIB

 

Enseignement Supérieur: Voici la liste des établissements bien notés

Le ministère en charge des Enseignements secondaire et supérieur a rendu public jeudi, un rapport qui recense, parmi 112 établissements privés supérieurs au Burkina Faso, 33 «de bonne qualité», 5 «de très mauvaise qualité» et 24 inclassables.

La Direction des Institutions Privées d’Enseignement Supérieurs (DIPES)  a contrôlé entre février et avril 2017,  sur toute l’étendue du Burkina Faso, 112 universités, écoles, instituts ou centre de formation privés de l’enseignement supérieur.

Il ressort que 33 de ces établissements sont de «bonne qualité», 29 «d’assez bonne qualité», 16 de «moyenne qualité», 6 de «mauvaise qualité» et 5 de «très mauvaise qualité».

24 autres écoles n’ont pas pu être classées au regard notamment de leur clandestinité, de leur refus de recevoir les équipes ou parce qu’elles sont introuvables.

Les enquêteurs se sont intéressés à l’organisation et la gestion administrative, financière  et pédagogique ; mais également aux infrastructures et équipements ainsi qu’aux dispositions légales.

Le secrétaire général du ministère en charge des Enseignement secondaire et supérieur, Pr Tanga Pierre Zoungrana a assuré que les listes seront régulièrement mises à jour pour faciliter le choix des parents et des élèves.

Il a également assuré de la disponibilité de la DIPES pour accompagner les établissements en difficulté, à adopter les réformes nécessaires.

Télécharger ici la liste  

 

A la découverte de l’Institut Supérieur de Génie Electrique du Burkina Faso « ISGE-BF »

L’Institut Supérieur de Génie Electrique du Burkina Faso « ISGE-BF » a été fondé à l’initiative de 18 entreprises du secteur de l’énergie et des télécommunications, réunies autour de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso (CCI-BF).
Depuis 2003, cet institut a pour vocation la formation de haut niveau en génie électrique, répondant ainsi aux besoins des entreprises. L'institut est aisément accessible. Il est situé à la ZAD II à Ouagadougou sur la circulaire du SIAO (boulevard Tansoba n°2073), près de CFAO Motors, en face du CMA du secteur 30 et du laboratoire national de santé publique.

Diplôme de Technicien Supérieur (DTS) : Trois options :
Électricité Industrielle (reconnu CAMES)
Réseaux Informatiques et Télécommunications (reconnu CAMES)
Maintenance Industrielle (reconnu CAMES)

Diplôme d’Ingénieur de Travaux (IT) : Deux options :
Ingénierie des Systèmes Électriques (reconnu CAMES)
Réseaux et Systèmes de Télécommunications (reconnu CAMES)

Diplôme d'Ingenieur de Conception
GSE : Génie des Systèmes Electriques
GSN : Génie des Systèmes Numériques

Contact : (+226) 72080000 / 25371416

L’école saint Michel fait 100% au CEPE en 2017

C’est par des chants des récitations et des danses que les élèves de l’école primaire sainte Michèle se sont dit au revoir le samedi 24 JUIN 2016 en présence de leurs parents et encadreurs.
« Nous avons fait 100% au CEPE cette année et dans les classes intermédiaires la plus faible moyenne est de 7 / 10 ce qui nous donne assez de satisfaction » a confié la directrice de l’école.
Créer en 2012 l’école compte une garderie et un primaire. Les trois premiers de chaque classe ont été primés grâce aux partenaires de l’école.
Raison pour laquelle la directrice n’a cessé de dire merci à l’ensemble des partenaires de l’école que sont l’inspection Ouaga 12 pour son accompagnement tout au long de l’année et aussi l’association des parents d’élèves.
Pendant environ 1h les enfants ont montré leurs savoirs faire à l’aide de sketch, de ballet et des danses. C’est par un cocktail que les parents d’élèves ont communié avec leurs enfants avant de se dire au revoir et de se souhaiter de bonnes vacances.