Le Centre d'études d'expérimentations économiques et sociales de l'Afrique de l'Ouest (CESAO) a réclamé l'abrogation de la taxe de 5 % sur la production locale et l'importation des emballages et sachets plastiques. Cette demande a été formulée le jeudi 10 octobre 2024, lors de la présentation d’une note de plaidoyer aux médias. Ce document vise à accélérer la révision et l’application de la loi de 2014 interdisant les emballages plastiques non biodégradables au Burkina Faso..
Un appel pour des actions plus strictes
Le CESAO a salué l’avant-projet de loi du 2 octobre 2024 visant l’interdiction totale des emballages plastiques dans le pays. Voici les phrases révisées pour respecter la limite des 20 mots par phrase :
Cependant, l’organisation a proposé au ministère de l’Environnement et à celui de l’Économie d’abroger la disposition sur la taxe. Abdoulaye Karama, membre du SPONG, a affirmé que cette taxe encouragerait la production. il a également souligné que l’importation de ces produits nuisibles pourrait se poursuivre en raison de cette taxe. Le CESAO insiste sur la nécessité d'une législation plus stricte pour protéger l’environnement et lutter efficacement contre le changement climatique.
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