Lors du Sommet de l’Avenir, le ministre des Affaires étrangères du Soudan, Hussein Awad Ali, a lancé un appel. Il a demandé à la communauté internationale de respecter la Charte des Nations unies. Son discours a souligné l’importance de la non-ingérence dans les affaires internes des États. Ce principe est essentiel pour la paix mondiale. Depuis 15 mois, le Soudan est plongé dans une guerre civile provoquée par deux généraux rivaux.
Hussein Awad Ali a critiqué les pratiques internationales qui violent ces principes. Il a dénoncé les politiques qui favorisent certains aspects de la Charte. D’après lui, cette sélectivité menace la stabilité mondiale et l’intégrité territoriale des pays. Pour lui, il est urgent de mettre fin à cette approche injuste.
Le Soudan appelle à Réformer l’Architecture Financière Internationale
Le ministre a aussi demandé une réforme du système financier mondial. Il a expliqué que cette réforme est essentielle pour aider les pays en développement. Ceux-ci font face à des défis comme la pauvreté, les conflits et le changement climatique. Il a insisté sur un soutien financier juste et durable. Cela permettrait de mieux répondre aux besoins de ces nations vulnérables.
Le Sommet a abouti à l’adoption du « Pacte pour l’Avenir ». Ce document engage les dirigeants mondiaux à agir. Ils se sont promis de construire un monde plus pacifique, solidaire et durable. Hussein Awad Ali a rappelé que ce pacte ne sera efficace que si la Charte de l’ONU est respectée. La souveraineté et la non-ingérence doivent être des priorités pour tous.
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