Promotion du cinéma burkinabè – Le vendredi 11 juillet 2025, le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, s’est rendu sur le plateau de tournage de la saison 2 de la série burkinabè Bienvenue à Kikidéni. Cette série, portée par la réalisatrice Aminata DIALLO/GLEZ, met en lumière les valeurs du cinéma burkinabè et son potentiel en matière de sensibilisation sociale et culturelle.

En visitant l’équipe de tournage, le ministre a tenu à féliciter les acteurs, les techniciens et toute l’équipe artistique pour leur engagement. Il a également exprimé l’importance que le gouvernement accorde à la promotion du cinéma burkinabè, en insistant sur la nécessité de produire et diffuser davantage de contenus locaux sur les chaînes nationales.
Promotion du cinéma burkinabè : une série qui valorise la culture et le vivre-ensemble
La saison 2 de Bienvenue à Kikidéni comprend 60 épisodes de 26 minutes, tournés sur six mois. En plus de promouvoir le « consommer local », la série aborde des thématiques fortes comme la cohésion sociale, le vivre-ensemble et la tolérance interreligieuse. Ce contenu s’inscrit parfaitement dans la vision de promotion du cinéma burkinabè, en mettant en scène des réalités proches des citoyens.
Le ministre OUEDRAOGO a rappelé que la production audiovisuelle burkinabè doit jouer un rôle central dans l’éducation, la culture et le développement économique. Pour cela, l’État a mis en place l’Agence Burkinabè de la Cinématographie et de l’Audiovisuel (ABCA), un levier stratégique pour dynamiser la promotion du cinéma burkinabè.
Promotion du cinéma burkinabè : vers une réduction des contenus importés
L’objectif du gouvernement est clair : faire du Burkina Faso un modèle de référence dans le domaine cinématographique africain. En ce sens, la promotion du cinéma burkinabè passe par une réduction significative des programmes importés au profit des productions locales. Le soutien à des projets comme Bienvenue à Kikidéni envoie un signal fort à tous les créateurs burkinabè.
En conclusion, la présence du ministre sur le tournage montre que la promotion du cinéma burkinabè n’est pas qu’un discours, mais une action concrète. L’implication des autorités culturelles redonne espoir aux professionnels du secteur.