Côte d’Ivoire: Attaque de l’école de police, révélations sur ce que projetaient les «assaillants»

Vingt-quatre heures avant l’ouverture des jeux de la Francophonie en juillet dernier, l’école de police d’Abidjan a été attaquée par des individus non identifiés. L’enquête ouverte suite à l’attaque a permis aux autorités sécuritaires d’arrêter certains suspects. Selon des informations rapportées par certains médias, les assaillants visaient à renverser le régime de Ouattara et mettre en place … Lire la suite

Côte d’Ivoire: 2600 soldats menacent les jeux de la francophonie

Dans un message adressé au Président de la République, le contingent des 2600 qui revendique une prime de 12 millions par tête à l’instar des 8400, menace de s’en prendre aux jeux de la Francophonie pour se faire entendre.

« S'il le faut nous empêcheront les jeux de la francophonie d’avoir lieu car chaque jours nous frapperont. Ce n’est ni un coup d'État mais nos dirigeant aiment le sang et nous allons établir la légalité et chasser l'injustice au sein de l'armée et menaçons tous ceux qui viendront s'imposer. Nous n’avons personnes derrière nous…», indique le message publié par nos confreres ivoirien.

Les récents affrontements entre militaires survenus à Korhogo (Nord de la Côte-d’Ivoire) au 4e bataillon d’infanterie, samedi 15 juillet dernier, ainsi qu’à Abobo (Abidjan) et leur corolaire de 3 morts et 4 blessés, ont décuplé leur colère. « Comment des militaires d’un même camp prennent les armes sans tirer sur quelqu’un, juste pour manifester et on leur tire dessus. Or il y a deux mois les 8400 ont pris les armes et on paralysé le pays et aucune riposte n’a été envisager. », a confié l'un des soldats.

Enfin, le contingent des 2600 exige la libération de l’un des leurs nommé ‘‘Tango’’. Ils accusent les chefs de guerre de ne point traduire leur message au Président Ouattara