Burkina: l’assemblée nationale dénonce l’utilisation abusive de ses symboles.

Attaque de Inata

Il a été donné de constater que des personnes physiques ou morales, dans le cadre de la promotion de leurs événements ou activités, utilisent abusivement des images et autres symboles de l’Assemblée nationale (logotype) ainsi que des photos ou la voix de son Président, S.E.M. Alassane Bala SAKANDE, sans aucune autorisation. Aussi, voulons‐nous attirer l’attention … Lire la suite

Revocation du soldat Ben Ali SAKANDE par le président de l’assemblée Nationale : l’institution dément

MPP/Burkina Faso

Des affirmations tendancieuses sur les réseaux sociaux, depuis le 26 septembre 2019, accusent le Président de l’Assemblée nationale d’être intervenu auprès du Ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants pour obtenir une résiliation de contrat au profit d’un proche. La présente mise au point a pour but de rappeler à l’attention des auteurs … Lire la suite

Politique: Allassane Sakandé nouveau président de l’assemblée Nationale

Le député Bala Alassane Sakandé a été élu vendredi, président de l’Assemblée nationale du Burkina Faso, en remplacement du Dr Salifou Diallo, décédé le 19 août 2017 en plein mandat.

Bala Alassane Sakandé (48ans) était l’unique candidat à la présidence de l’Assemblée nationale du Burkina Faso.

104 députés ont voté pour, 19 se sont abstenus et deux ont voté contre. Deux bulletins nuls ont été enregistrés.

Le député Sakandé occupait depuis le début de la législature en décembre 2015, le poste de président du groupe parlementaire MPP (Mouvement du peuple pour le progrès, au pouvoir, 55 députés).

M. Sakandé est considéré comme un fidèle lieutenant du président Roch Kaboré depuis l’époque (dans les années 1995) où ils travaillaient à l’ex Banque internationale du Burkina (BIB).

Bala Alassane Sakandé remplace Dr Salifou Diallo, décédé le 19 août 2017 à Paris en France.

Élection du président de l’AN :  » Est-ce un mépris ou une violation délibérée de la Constitution  » ? Harouna Dicko

" Monsieur le Premier Vice-président,
Le mercredi 30 août 2017, vous avez présidé la clôture d’une prétendue « session spéciale » ouverte semble-il le dimanche 20 août 2017, pourtant ce jour vous aviez convoqué les députés à une « rencontre extraordinaire ». Aussitôt le lendemain 31 août 2017, vous avez présidé l’ouverture d’une session extraordinaire faisant référence à l’article 88 de la Constitution en vue de l’élection du nouveau Président de l’Assemblée nationale le vendredi 08 septembre 2017.
Est-ce un mépris ou une violation délibérée de la Constitution qui dispose à son article 92 « qu’en cas de vacance de la Présidence de l’Assemblée nationale par décès, démission ou pour toute autre cause, l’Assemblée nationale élit dans les conditions fixées à l’article 91, un nouveau Président dans les quinze jours qui suivent la vacance si elle est en session. Dans le cas contraire, elle se réunit en session extraordinaire dans les conditions fixées par le Règlement » ?
N’est-il pas évident:
1- que pour l’élection du nouveau Président de l’Assemblée en cas de vacance par décès, on doit plutôt se référer à cet article 92 de la Constitution qui :
 fixe le délai immuable des quinze jours qui suivent la vacance pour la tenue effective du scrutin ?
 indique l’article 91 pour les majorités requises selon le 1er ou le 2e tour du scrutin ?
 ordonne la tenue d’une session extraordinaire si l’Assemblée n’est pas en session en laissant le soin au Règlement de fixer les conditions pour la convocation de cette session extraordinaire ?
2- que pour la convocation de cette session extraordinaire, le Règlement fixe une seule condition en disposant à l’alinéa 3 de son article 17, qu’elle (l’Assemblée nationale) se réunit de plein droit c'est-à-dire sans que cela ne soit règlementairement demandé par le Premier Ministre ou par la majorité absolue des députés ?
Cette session extraordinaire pour élire le nouveau Président à l’article 92 de la Constitution, qui est convoquée de plein droit en vertu de l’article 17 du Règlement, n’est-elle pas différente :
1- de la session extraordinaire courante à l’article 88 de la Constitution qui elle, est convoquée non pas de plein droit mais par le Président de l’Assemblée à la demande du Premier Ministre ou à celle de la majorité absolue des députés sur un ordre du jour classique tel déterminé à l’article 84 de la Constitution ( voter la loi, consentir l’impôt ou contrôler l’action du Gouvernement) ?
2- de la session spéciale à l’article 51 de la Constitution qui est convoquée uniquement pour que le Président du Faso communique avec l’Assemblée nationale hors session ?
Monsieur le Premier Vice-président,
La vacance de la Présidence de l’Assemblée nationale n’a-t-elle pas été ouverte le 19 août 2017 avec les deux communiqués officiels de la Présidence du Faso et du Bureau de l’Assemblée qui ont annoncé le décès de Monsieur Salifou DIALLO Président de l’Assemblée nationale ?
L’Assemblée nationale ne devrait-elle pas se réunir en session extraordinaire de plein droit pour organiser les obsèques du défunt Président et procéder au plus tard le 31 août 2017 à l’élection du nouveau Président au scrutin uninominal, secret, à la tribune, et à la majorité absolue des membres au 1er tour ou à la majorité simple au 2e tour conformément aux dispositions la Constitution et au Règlement ?
Avez-vous été influencé par la voix moins autorisée au niveau universitaire que celles des Professeurs Yarga Larba et Aboubacar Sango pour parler des articles 92 de la Constitution et 17 du Règlement de l’Assemblée sur lesquels moi j’avais déjà opiné ?
Juste pour ma compréhension « sokré la bangré » "
Ouagadougou, le 03 septembre 2017
Harouna DICKO

Discours à la Nation: Quand les propos du 1er Ministre irritent des parlementaires…

Comme initialement annoncé, le premier ministre s’est adressé à la Nation devant les Parlementaires de l’Assemblée Nationale ce vendredi 14 avril depuis 11heures. Des chiffres et des attaques à peine voilées ont constitué l’essentiel de l’allocution de Paul Kaba Thiéba envers certains parlementaires. « Je vois que nos amis de l’opposition commencent à ne plus être … Lire la suite

Burkina: L’assemblée Nationale dément l’information selon laquelle les députes ont reçu 1 millions chacun

Selon certains confrères les députés du Burkina aurait recu  millions chacun pour les fêtes de fin d’année.  L’assemblée nationale dans un communiqué dément cette information. Il est dit dans une certaine presse que les députés ont été gratifiés d’un million de FCFA pour la fête. Cela n’est pas exact. De quoi s’agit-il ? Dans la … Lire la suite