Les États-Unis ont lancé une opération militaire américaine de grande envergure visant à neutraliser les principales installations nucléaires iraniennes. Cette attaque coordonnée marque une intensification brutale des tensions au Moyen-Orient. L’opération a mobilisé des bombardiers stratégiques B-2 Spirit et des missiles Tomahawk pour frapper les centres névralgiques du programme nucléaire iranien, notamment à Natanz, Ispahan et Fordo.
Le président américain Donald Trump, par l’intermédiaire de Fox News, a confirmé que l’objectif de cette opération militaire américaine était d’empêcher définitivement l’Iran d’acquérir des armes nucléaires. Il a déclaré : « Fordo a disparu », insistant sur le fait que la victoire ne passe pas par un cessez-le-feu mais par une élimination totale de la menace nucléaire.
les cibles iraniennes détruites
L’opération militaire américaine a nécessité l’usage de cinq à six bombes anti-bunker, bien au-delà des estimations initiales. Les installations de Natanz et d’Ispahan ont été ciblées par 30 missiles Tomahawk, lancés à environ 640 kilomètres. La principale cible, le site nucléaire de Fordo, a été « totalement détruite ». Cette information a été confirmés par selon sources américaines, même si l’Iran n’a pas confirmé cette perte.
Ce genre d’attaque, par sa précision et son ampleur, rappelle les opérations militaires menées par les États-Unis contre Saddam Hussein en 2003. À l’époque, les bombardements visaient également à désorganiser un programme jugé menaçant pour la sécurité internationale.
Opération militaire américaine : un déploiement sans précédent
Avant l’attaque, les États-Unis avaient déployé d’importants moyens militaires dans la région. L’opération militaire américaine a mobilisé le porte-avions USS Nimitz. Elle a aussi mobilisées des avions de chasse F-16, F-22, F-35 et des bombardiers B-2. Une fois leur mission terminée, les appareils américains ont quitté l’espace aérien iranien.
Le président Trump a affirmé que les États-Unis « ne recherchent pas un cessez-le-feu, mais une victoire complète », ajoutant qu’il s’agissait d’une réponse ferme et définitive contre la menace nucléaire iranienne. Cette attaque pourrait modifier profondément les équilibres géopolitiques dans la région.