L’apurement de la dette sociale au MEBAPLN avance avec une dynamique qui rassure clairement les acteurs du monde éducatif. Le ministre Jacques Sosthène Dingara a visité les équipes techniques engagées dans l’examen final des dossiers, afin d’évaluer une progression fixée depuis janvier 2025. À ce jour, les services atteignent 97% de traitement sur les 41 937 dossiers de reclassement des titulaires du CSAPé, ce qui montre une avancée majeure. Cette prouesse rappelle d’autres opérations administratives nationales où des objectifs ambitieux avaient été atteints grâce à une mobilisation collective continue.

Cependant, il reste environ 1 200 dossiers à traiter, dont 536 rejets liés à des erreurs administratives. Cette situation nécessite une vigilance renforcée, car ces irrégularités freinent l’apurement de la dette sociale et retardent les carrières des agents concernés. Le ministre insiste sur la responsabilisation des acteurs et exige des rapports réguliers pour éviter de nouveaux blocages.

Apurement de la dette sociale : des responsabilités partagées pour améliorer les performances

Le ministre appelle les équipes à renforcer leurs compétences pour réduire les rejets, car chaque erreur administrative ralentit l’apurement de la dette sociale et crée des frustrations. Cette approche proactive rappelle des réformes similaires menées dans d’autres secteurs publics, où l’amélioration des capacités internes avait permis de fluidifier les processus.

Il demande également un suivi rigoureux des actes délégués aux services régionaux, afin de garantir une continuité administrative efficace. Grâce à ces mesures, l’apurement de la dette sociale peut encore progresser rapidement malgré les contraintes opérationnelles.

Le dossier des enseignants communautaires montre aussi des avancées notables. Sur les 479 autorisés à intégrer la Fonction publique, 241 sont déjà enrôlés. Pour les autres, les équipes se préparent à les rejoindre par héliportage dans les zones à défis sécuritaires, ce qui illustre l’engagement du ministère pour accélérer l’apurement de la dette sociale même dans des conditions difficiles.

Le ministre, à la tête d’une administration de près de 84 000 agents, encourage les équipes et appelle les agents à plus de tolérance, car l’apurement de la dette sociale arrive à sa phase finale, marquée par une mobilisation exceptionnelle.