C'est une révélation voulu par le président Roch Marc Kaboré et qui est rapporté par nos confrères de Jeune Afrique.
En effet selon nos confrères le président Roch Kaboré ne s'est pas associé à la démarche conjointe de ses pairs socialistes de la région, en marge du sommet Afrique-France de Bamako, en janvier, visant à obtenir du président français, François Hollande, qu’il appuie la demande de libération conditionnelle de Laurent Gbagbo, lequel comparaît à La Haye devant la Cour pénale internationale.
Contrairement à ce que nous avions laissé entendre dans ces colonnes, il ne s’est pas associé à la démarche conjointe de ses pairs socialistes de la région, en marge du sommet Afrique-France de Bamako, en janvier, visant à obtenir du président français, François Hollande, qu’il appuie la demande de libération conditionnelle de Laurent Gbagbo, lequel comparaît à La Haye devant la Cour pénale internationale.
Il en a simplement été informé, lors du sommet, par son homologue guinéen Alpha Condé. « Vu la façon dont les Burkinabè de Côte d’Ivoire ont été traités par le régime Gbagbo, vous n’imaginez pas le président Kaboré demander sa libération ! » explique l’un de ses proches. Sans compter que cette démarche (mort-née, comme on le sait), n’aurait évidemment pas été appréciée à Abidjan…
Avec JA