Le collectif contre l'impunité et la stigmatisation des communautés (CISC), entend marquer les 1 ans du drame de Yirgou par un sit-in est prévu le 10 janvier prochain devant le tribunal de grande instance de Ouagadougou. Ce sit-in vise à soutenir les acteurs de justice dans leur quête de vérité et de justice dans l'affaire Yirgou selon les organisateurs qui l'on fait savoir lors d'un point de presse dans la capitale Burkinabé.
Selon le collectif sur 180 mandats d’amener émis, seuls 12 ont été exécutés un an après et le collectif appelle à une prise en charge adéquate des survivants réinstallés sur le site de Barsalagho, et à prêter main forte aux acteurs judiciaires. Un an après, seulement 12 personnes sur 200 soupçonnées, ont été interpellées pour avoir participées au massacre de Yirgou.
Notons qu'un an après le bilan diffère de part et d'autre. Selon le gouvernement le bilan fait état de 46 personnes tuées tandis que le collectif annonce 216
« Actuellement le chef koglwéogo de Boulsa qui a été arrêté, il y a des pressions énormes pour le faire libérer. Si vous prenez attache avec les acteurs de la justice vous comprendrez mieux pourquoi il y a une certaine délicatesse et pourquoi certains membres des koglwéogo qui sont des criminels, qui sont des terroristes bénéficient d’une certaine protection incompréhensible, inadmissible pour une république » a indiqué Le secrétaire général du CISC Dr Daouda Diallo.
Selon le collectif sur 180 mandats d’amener émis, seuls 12 ont été exécutés un an après et le collectif appelle à une prise en charge adéquate des survivants réinstallés sur le site de Barsalagho, et à prêter main forte aux acteurs judiciaires. Un an après, seulement 12 personnes sur 200 soupçonnées, ont été interpellées pour avoir participées au massacre de Yirgou.
Notons qu'un an après le bilan diffère de part et d'autre. Selon le gouvernement le bilan fait état de 46 personnes tuées tandis que le collectif annonce 216
« Actuellement le chef koglwéogo de Boulsa qui a été arrêté, il y a des pressions énormes pour le faire libérer. Si vous prenez attache avec les acteurs de la justice vous comprendrez mieux pourquoi il y a une certaine délicatesse et pourquoi certains membres des koglwéogo qui sont des criminels, qui sont des terroristes bénéficient d’une certaine protection incompréhensible, inadmissible pour une république » a indiqué Le secrétaire général du CISC Dr Daouda Diallo.
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