Politique: le congres du CDP s’est bien passé selon Eddie KOMBOIGO

Notre Pays, l’ensemble du peuple burkinabè et singulièrement les militants de notre parti, le Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP), ont gagné leur pari en organisant les 05 et 06 mai 2018 à Ouagadougou,  le VIIè Congrès ordinaire du CDP.   Ce Congrès, tant attendu des militants qui voulaient amorcer  sereinement la dynamisation … Lire la suite

CDP : Voici la composition du Bureau Exécutif National

A la fin de son VIIe congrès ordinaire tenu les 5 et 6 mai 2018 et qui a vu la réconduction d’Eddie Komboigo comme président, le CDP, n’avait pas pu communiquer la liste de son Bureau Exécutif National (BEN). C’est chose faite depuis ce mardi, 8 mai, avec la transmission aux médias de la liste … Lire la suite

Discours du chef de file de l’Opposition politique Zéphirin Diabré à l’occasion du 7ème Congrès ordinaire du CDP

Les milliers de cœurs enthousiastes qui battent à l’unisson dans cette enceinte majestueuse de la salle du palais des sports de Ouagadougou, à l’occasion de la tenue du 7ème Congrès de votre grand parti, signalent déjà et de manière éloquente, que le CDP is back et que l’Opposition est en marche! C’est donc avec un … Lire la suite

Politique/CDP: Léonce Koné dément avoir démissionner

Dans l’édition N° 6574 du 19 avril 2018 de votre journal (le pays), vous avez publié une lettre que j’ai adressée au Président Blaise Compaoré, relative à mon éventuelle démission du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Vous semblez  avoir tiré de la teneur de ce courrier la conclusion qu’elle contredisait la récente … Lire la suite

Politique/CDP : Eddie Komboïgo n’a pas lu ’’la lettre de démission’’ de Léonce Koné

Le président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex parti au pouvoir) Eddie Komboïgo a affirmé jeudi, qu’il n’a pas lu ’’la lettre de démission’’ que son camarade Léonce Koné aurait envoyée au président Blaise Compaoré. ’’Je l’ai pas encore vue. Je n’en connais pas le contenu. Comment vous-voulez que je réagisse ?’’, … Lire la suite

Attaques terroristes du 2 mars 2018 : le groupe parlementaire CDP invite le gouvernement à prendre des dispositions adéquates pour assurer la sécurité de nos villes et de nos campagnes

Le Burkina Faso est une fois de plus victime d’une vile attaque terroriste. C’est avec consternation et grande émotion que le Groupe parlementaire du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) a suivi le déroulement des évènements sur l’ignoble attaque de plusieurs sites ciblés de notre capitale, ce 02 mars 2018, faisant plusieurs victimes … Lire la suite

MACA : Le président du CDP, Eddie Komboïgo, rend visite au général Gilbert Diendéré !

Après son accueil « triomphal », le mercredi 3 janvier 2018 dans le Passoré, suite au non-lieu prononcé à son bénéfice dans le cadre du putsch de septembre 2015, le président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), Eddie Komboïgo, est ’’reparti  » dans la matinée de ce samedi 6 janvier 2018, à la Maison … Lire la suite

Politique: le CDP section France tire à boulet rouge sur la gestion du MPP

La transition en appliquant une politique d’exclusion malgré les injonctions de la communauté internationale et la décision de la CEDEAO, a de fait orienté les élections et favorisé le recyclage politique des « dineurs » toutes choses ayant concourues à la transmission du pouvoir au MPP.

L’apartheid électoral ainsi prôné et appliqué par la transition avec en prime la révocation des maires légitimement élus et le gel des comptes de campagne de l’ancienne majorité a favorisé la radicalisation des positions et le délitement du climat social. La cohésion nationale étant le principal facteur de stabilité et de développement, il est indispensable que nous traitions sans passion et avec lucidité la problématique de la réconciliation nationale.

La désobéissance civile organisée d’octobre 2014 lors des évènements,  a eu pour corolaire direct la montée de l’incivisme qui atteint désormais son paroxysme d’autant plus que l’Etat n’y oppose aucune fermeté.

Nul n’est sans ignorer que la condition sine qua non pour un Etat fort, c’est la crédibilité de ses dirigeants. Il va s’en dire que la configuration actuelle du pouvoir fait elle-même le lit de l’incivisme d’autant plus qu’il est désavoué de l’opinion publique moins de deux ans après la forfaiture électorale ayant favorisée son recyclage politique. En effet, on ne trouvera pas de solution en cherchant dans les problèmes.

Ceux qui ont défendu bec et ongles la modification de l’article 37, sont ceux là même qui se sont mués en alternative messianique pour le peuple. Par ailleurs, l’apologie de violences policières et l’encouragement de milices armées témoignent de la faillite de l’Etat de droit.

Force est de constater aujourd’hui le désenchantement et la désillusion du peuple face au dilettantisme et à la gestion hasardeuse du pouvoir d’Etat. La révélation des ristournes financières illicites au sein du Ministère des Infrastructures constitue une énième preuve d’un pillage organisé des ressources du pays au mépris de la précarité croissante au sein des populations. L’attitude attentiste adoptée par l’autorité judicaire devant ces faits avérés de corruption remet en cause le principe d’équité de la justice, et la séparation des pouvoirs qui sont le socle de toute démocratie.

Les manœuvres démagogiques visant à instiller dans l’opinion publique que le PPP Partenariat Public Privé (PPP) est une innovation économique, relèvent  purement du populisme et de l’arnaque politico-politicienne. En effet la loi N°020-2013 de la précédente législature sous Blaise COMPAORE portait déjà en l’occurrence sur ce type de partenariat et consacrait en son article 16 l’appel d’offre comme mode de sélection du partenaire privé en dehors des exceptions faites à son article 24.

Le fait nouveau qui a légitimement suscité la polémique est la loi votée sous l’actuelle législature qui contourne les règles élémentaires de transparence en matière de gestion des finances publiques en favorisant le recours à l’entente direct « gré à gré », une autre forme de « mouta mouta ». La légèreté de l’argument selon lequel il s’agirait d’une mesure d’accélération des passations de marché et de réalisation du PNDES nous conforte dans l’idée qu’il s’agit ni plus ni moins qu’une légalisation de la corruption, du clientélisme et du pillage des ressources.

D’Etat stable avec une croissance continue, notre pays se retrouve dans une situation économique léthargique, favorisée par une insécurité croissante. Les attaques terroristes répétées  ces dernières années fragilisent notre tissu économique par la fuite des investisseurs étrangers.

C’est pourquoi la question sécuritaire devra être traitée en priorité. Autrement dit, dans ce contexte, le PNDES tant adulé serait illusoire parce qu’aucun investisseur ne s’aventure dans un climat sécuritaire incertain.  Au-delà même du développement économique c’est la vie de nos concitoyens qui est en jeu et il est impensable de poursuivre dans le rituel des discours de condamnation sans les accompagner de mesures fortes.

La politique doit être empreinte d’une vision et il est temps d’établir les priorités. La sécurité est un préalable au développement économique. D’aucuns diront que le terrorisme n’est pas propre au Burkina, mais force est de reconnaitre que c’est un phénomène nouveau pour le Burkina. Attendons que le mal s’enracine et il sera difficile de le déloger. L’Irak et la Syrie en font encore la douloureuse expérience.

La situation économique est aujourd’hui désastreuse, avec une baisse du pouvoir d’achat des populations, majorée par l’inflation des denrées alimentaires. N’en déplaise aux barons du « nouveau ancien régime », il faut reconnaitre que la multiplication des emprunts financiers obligataires du trésor publique témoigne de la déliquescence de l’économie Burkinabé et de l’incapacité du pouvoir actuel à honorer ses promesses de campagnes qui tombent sous le sceau de la démagogie pur et simple et de l’arnaque politique.

Pire encore, la récurrence des incidents diplomatiques compromet gravement les possibilités d’investissements provenant de l’étranger. La sortie du Président du Faso sur la chaîne Al Jazeera au Qatar évoquant le départ du Président COMPAORE, avec à la clef une leçon de démocratie était simplement inopportune. Comment peut-on donner des leçons de démocratie sur la chaine d’un Etat monarchique alors même que l’on s’y trouve pour lever des fonds ?

Pour preuve, les occidentaux n’évoquent pas des questions démocratiques avec les Etats du Moyen Orient. Ils s’emploient plutôt sur un plan diplomatique à consolider leur partenariat économique, afin d’attirer des investisseurs Qatari, d’exporter leurs produits et leur savoir faire, toutes initiatives leur permettant d’accroitre leur potentiel financier.

La crédibilité du Burkina Faso sur la scène internationale est mise en rude épreuve par la série de cabales politico-judiciaires orchestrée pour les intérêts cupides d’un pouvoir voulant se soustraire lui-même des frasques de son passé. Or, peu importe la durée de la nuit, le jour finit par se lever. On se souvient de la loi d’exclusion condamné par la cour de justice de la CEDEAO, du montage grotesque du dossier judiciaire contre l’ancien gouvernement du Président Blaise COMPAORE déclaré inconstitutionnel et du cas Djibril BASSOLE pour lequel le gouvernement à reçu des injonctions de l’ONU.

Cet acharnement politico-judiciaire sélectif ne fait qu’accentuer le clivage au sein de la société avec tous les risques de dérives qu’ont connus d’autres peuples. S’il est vrai que nul est au dessus de la loi, une justice authentique se veut équitable à l’endroit de tout ses justiciables. Les malversations financières et la corruption étant punissable par la loi, il est impératif que l’Etat soit regardant sur les révélations faites dont la dernière en date concerne des ristournes illégalement versées au Ministère de l’Infrastructure.

Dans un contexte de paupérisation croissante, d’insécurité notoire et de corruption grandissante il est plus que jamais primordial d’établir les priorités afin de renouer avec un Burkina prospère. Faut-il imposer une nouvelle constitution à coût de milliards pour assouvir les fantasmes politiques d’une minorité alors que l’Etat n’est pas à même d’assurer les besoins primaires de nos populations ?

Faut-il s’atteler à interpeller des citoyens pour leurs opinions politiques quand nous n’arrivons pas à organiser les missions régaliennes de l’Etat ? Nous devons impérativement recentrer nos énergies et ressources pour être en adéquation avec notre peuple qui aspire à un progrès démocratique, et un minimum social, faute de quoi la stabilité pourrait être mise à rude épreuve tant la grogne sociale est manifeste.

En tout état de cause notre peuple fait l’objet d’une prise d’otage par un pouvoir dont le paradoxe est de vouloir se soustraire de la gouvernance des trois dernières décennies.

La seule véritable issue consiste à planifier une alternance démocratique crédible en faisant abstraction de notre cupidité et de nos discours partisans. A ce propos, toutes les composantes sociodémographiques devront jouer toute leur partition pour l’émergence d’un leadership qui permette au Burkina de renouer avec la stabilité et la croissance car nous n’aurons pas d’avenir dans un pays qui n’en a point. Les hommes passent mais l’histoire demeure.

Paris, le 30 Octobre 2017

 SECTION CDP France 

Politique: le CDP souhaite une accélération des procès du dernier gouvernement de Blaise COMPAORE et du coup d’état du 16 septembre 2015

Le Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) a tenu le samedi 30 août 2016 à partir de 09 heures, la 60ème session ordinaire de son Bureau Politique National, à Ouagadougou, au siège du Parti sis sur Kwamé N’kurumah, sous la présidence du camarade Achille Marie Joseph TAPSOBA, président par intérim du parti.

La 60ème session avait à son ordre du jour les points ci-après :

1. Examen du rapport d’étape de la Commission ad’ hoc chargée de la réorganisation des structures et de la relance des activités du Parti ;
2. Informations ;
3. Divers.

Au titre du premier point à l’ordre du jour, le Président de la commission Ad Hoc, chargée de la réorganisation des structures et de la relance des activités du parti, le camarade Léonce KONE a fait le point sur leur activité. Dans son exposé, il a relevé qu’un Parti ne vaut que par la solidité et le maillage étroit de ses organes sur le territoire national. Or, le CDP, n’est pas sorti indemne de la bourrasque de l’insurrection. En effet, les structures territoriales ont été gravement affectées par ces événements, par leur violence et par le climat d’oppression, palpable, auquel les militants du CDP ont été soumis. C’est pourquoi la commission s’est attelée à la remise sur pied de ses organes de base, en commençant par les Sections provinciales.

Le Bureau Politique National a validé le renouvellement d’une Quarantaine des Quarante-cinq Sections qui devaient être remises sur pied. Et a donné quitus à la Commission de poursuivre sa tâche afin d’achever la mise en place des sous sections départementales et des Comités de base des villages et des secteurs urbains a une échéance de trois ou quatre mois. Le but final étant de faire en sorte que le CDP soit à nouveau présent sur toute l’étendue du pays, depuis les villes jusque dans les hameaux les plus reculés.

Abordant le second point à l’ordre du jour, le camarade Achille Marie Joseph TAPSOBA a évoqué avec les Camarades, de la tenue de la Rentrée Politique du Parti qui se veut sobre et donnera la vision du parti sur la situation politique national et international, marqué par un marasme économique généralisé sous la gestion du MPP.

Le président par intérim a soutenu que cette rentrée politique se déroule sous le signe de la tolérance et du respect de la différence, de la cohésion et de l’unité d’action, valeurs qui ont toujours caractérisé la marche de notre Parti, et a pour seule finalité la relance effective de ses activités.

En outre, à l’orée des rentrée des classes et de la rentrée judiciaire, c’est une occasion pour le CDP de souhaiter une accélération des procès des camarades du dernier gouvernement de Blaise COMPAORE et ceux impliqués dans le coup d’état du 16 septembre 2015. Cependant, que ce ne soit pas dans une justice à trois vitesses, une justice des vainqueurs, mais qu’elle soit transparente, égalitaire et équitable.
Le Bureau Politique National (BPN) a également souhaité une bonne rentrée scolaire à tous ceux qui œuvrent dans le système éducatif, les parents d’élèves, aux élèves et aux étudiants.

Au titre des informations, le BPN a été informé :
• de la tenue des deuxièmes journées du Groupe parlementaire du CDP à Ziniaré ;
• de la tenue de la journée du Groupe municipale du CDP ;
• de la tenue de l’assemblée générale des femmes du CDP. 
• de la participation du Parti au Congrès du RDR en Côte d’Ivoire ;
• de la participation du parti aux obsèques du Président de l’Assemblée National, Salifou DIALLO ;
• de la participation du parti à la CODER ;
• du point des activités du CFOP ;

Faisant le point de la saison hivernale dont la fin suscite des inquiétudes notamment avec des poches de sècheresse, à travers tout le pays, aggravée par les attaques des chenilles légendaires, toutes choses qui n’augurent pas une récolte prometteuse pour nos vaillantes populations, le BPN interpelle le gouvernement à prendre des mesures pour assurer des réserve, car gouverner c’est prévoir.

Le Bureau politique national, au regard de l’évolution de la situation du pays et des efforts inlassables qu’ils ont accomplis pour assurer la poursuite et la relance des activités du CDP, a adressé ses vives félicitations aux camarades Achille TAPSOBA, Président par intérim du Parti et Léonce KONE, Président de la Commission ad hoc.

Compte tenu des défis présents et futurs auxquels le Parti doit faire face, le Bureau politique national a confirmé la poursuite du mandat du camarade Achille TAPSOBA comme Président par intérim jusqu’au prochain Congrès, ainsi que la continuation de la mission de la Commission ad hoc chargée de la réorganisation et de la relance du CDP, sous la présidence du camarade Léonce Koné, jusqu’à la même échéance.

Avant de clore la session à 13 heures 00 minutes, dans une ambiance chargée de ferveur et de chaleur militante, le camarade Achille Marie Joseph TAPSOBA, a lancé un appel à l’unité et à la cohésion au sein du Parti, en vue d’une participation responsable du Parti à l’animation de la vie politique nationale.

Le Président par intérim du Parti,
Président du Bureau Politique National
Achille Marie Joseph TAPSOBA

Le Rapporteur 
Blaise SAWADOGO
Secrétaire Général par intérim du Parti

Lutte contre le terrorisme : Voici les recommandations du partit de Blaise Compaoré

Les 2e journées parlementaires de l’année 2017 du groupe CDP ont pris fin aujourd’hui 23 septembre 2017 à Ziniaré. À l’issue de leurs travaux, les députés CDP ont fait une dizaine de recommandations au gouvernement pour permettre de lutter contre le fondamentalisme islamiste et le terrorisme violent.

Il s’agit, entre autres, de :

- l’élaboration d’une stratégie nationale de communication contre la stigmatisation et les amalgames quelques fois constatés entre islam et terrorisme ;

- le renforcement du dialogue inter-religieux ;

- le renforcement des capacités de l’agence nationale de renseignements ;

- la nécessité de restructurer la police de proximité avec un traitement adéquat de la question des Koglweogo

- l’acceleration de la mise en œuvre du programme d’urgence du Sahel ;

- la relance de la communication de crise dans le contexte de notre pays ;

- la relance du processus de réconciliation nationale, condition sine qua non pour une lutte conséquente contre le fondamentalisme islamiste et le terrorisme dans notre pays ;

- l’option Vérité-Reconciliation doit être résolument choisie parce que la plus réaliste et possible pour une réconciliation nationale véritable