Malheureusement ce qu'on dirait que l'ensemble des médias burkinabes n'as pas voulu ébruité a été finalement mis au grand jour par nos confreres de jeune afrique. le manque de coordination de nos forces de défense.
Effectivement nos forces de défense sont arrivés sur les lieux de l'attaque deux heures après l'attaque. Meme les journalistes sont arrivés avant les forces de l'ordre. D’après des témoins cités par jeune Afrique, les premiers arrivés sur place – certains par conscience professionnelle, sans y avoir été envoyés par leur hiérarchie – étaient très mal équipés. « Les policiers avaient des vieilleries, mais on aurait dit que les armes des jihadistes sortaient de la boîte. Ça brillait. Ils avaient des doubles chargeurs », souligne Lucien Trabi, un survivant blessé d’une balle dans l’épaule.
Équipement insuffisant
Nos forces de l'ordre étaient visiblement dépassés par les événements et sous équipés , pas d’appareils de vision nocturne, pas de boucliers balistiques, pas de matériel d’effraction pour ouvrir les portes. Il fallait attendre donc l'arrivée des forces Française avec un équipement à la pointe. Il réunissent donc autours d'eux nos hommes pour coordonner les actions. "Poiliciers, Gerndarmes autours de moi nous allons prendre le commandement des opérations" a déclarer l'un des officiers français. Pendant qu'il font un brief un avion venait d'atterri à la base aérienne et quelques minutes après l'on a vu arriver d'autres colonne de l'armée française . Ceux qui étaient stationner au mali venait d'arriver. Pour les journalistes sur place les choses sérieuse vont démarrer. mais il faut attendre encore , quoi? le positionnement d'un drone cette fois par l'armée américaine . Eux n'était pas nombreux environs 5 hommes.
Les force spéciale française prennent les commandes des opérations . Les gendarmes et la police du burkina présent . Ils...
Posté par Ouaga24.com sur vendredi 15 janvier 2016
IL a fallut attendre 1h du matin pour voir les forces de sécurités du Burkina se faufilé derrière le Capuchino tandis que l'armée francise accompagnée du drone passer par l'arrière de l'hôtel splendide. un premier assaut est donné par les forces en présence sans arrivé a bout des assaillant . La zone du ministère de la fonction publique est évacué et le nouveau cordon de sécurité est au niveau de la station Total Kwamé Nkrumah.
Les forces speciales americaines sont aussi presente et équipé pour donner l'assaut
Posté par Ouaga24.com sur vendredi 15 janvier 2016
si on encroit jeune afrique les jihadistes avaient déjà quitté les lieux, piégeant derrière eux, certaines portes avec des grenades, ce qui explique pourquoi la sécurisation de l’hôtel a pris plusieurs heures. « Il y a eu un gros problème de coordination » reconnaît une source sécuritaire. »On ne savait pas qui devait faire quoi, il n’y avait pas de communication entre les différentes unités. Le ministre de l’Intérieur en personne a dû se rendre sur les lieux pour coordonner les actions ».
Ce qui fait dire à mon confrère de jeune Afrique que Si le RSP était une armée dans l’armée, honnie par la population pour ses excès, il constituait néanmoins une véritable force opérationnelle. Il avait son unité antiterroriste bien entraînée et bien équipée. Mais selon une source militaire, une bonne partie de cet équipement a été dispersée lors de sa dissolution.
Le général Gilbert Diendéré, emprisonné pour avoir pris la tête du putsch visant à renverser le régime de transition démocratique, était l’homme qui gérait les situations de crise mais aussi les services de renseignement. Disposant de moyens importants, il avait mis en place un réseau lui permettant de contrôler le pays et de disposer de renseignements sur les groupes jihadistes dans la sous-région. D'ailleurs il était surnommé le chérif de la sous région. « Tout le service de renseignement burkinabè a été désarçonné » depuis son arrestation, estime la source politique.
Selon une source gouvernementale, des renseignements sur l’attaque de vendredi sont remontés dans l’appareil sans qu’ils soient traités ou utilisés correctement. Il est toutefois impossible de dire qu’ils auraient permis de prévenir l’attaque. Reste que samedi, lors d’un conseil des ministres extraordinaire, le gouvernement décidait la mise en place « urgente d’une Agence nationale de renseignement ».
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