Sport: Jhonatan Zongo dément être en difficultés

Annoncé dans une situation difficile l’international Burkinabé l’international burkinabè Jonathan Zongo, blessé lors de la CAN a tenu a mettre les pendules à l’heure. Pour Jonathan Zongo, tout va bien.

« je suis au Burkina pour voir la famille, tout tranquillement pour passer du bon temps avec elle. Côté financier, il n’y a pas trop de problème. Je me suis fait opérer. Tout avait déjà pris en charge. Après la convalescence, je suis dans la récupération à 100% »

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People: Jhonatan Zongo dément être en difficultés

Etats-Unis : le fils de Donald Trump reconnaît avoir rencontré une avocate russe pour nuire à Hillary Clinton

Le fils de Donald Trump, qui a reconnu avoir rencontré une avocate du Kremlin pendant la campagne présidentielle, minimise la gravité des accusations portée contre lui.

Le New York Times a révélé l’existence d’un rendez-vous ce week-end, entre le fils de Donald Trump et l’avocate russe Natalia Veselnitskaya, en juin 2016.

L’objet était un échange d’informations compromettantes sur des individus en lien avec la Russie qui financeraient le Comité national démocrate et Hillary Clinton, l’ex-adversaire de Donald Trump.

Mais à la surprise générale, mardi, le fils du président américain, qui vient de s’adjoindre les services d’un avocat, a publié sur Twitter l’échange d’emails qui a précédé sa rencontre avec l’avocate russe.

A priori, cette publication hallucinante prouve deux choses : quel que soit le contenu réel des échanges lors de ce rendez-vous de juin 2016, celui-ci a été accepté par l’équipe de campagne de Trump parce qu’il promettait d’être riche en kompromat sur la candidate démocrate ; également, que l’équipe de campagne de Trump a bien été en contact avec des envoyés du Kremlin, qui voulait concrètement aider le clan du milliardaire à arriver au pouvoir.




Terrorisme: Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de l’Etat islamique annoncé pour mort

Selon l’Observatoire syrien pour les droits de l’Homme, le chef de l’Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, serait mort. Mais le Pentagone n’a pas confirmé cette information. Ce n’est pas la première fois que son décès est annoncé.

L’homme à la tête de l’Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi serait mort, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). D’après le responsable de l’organisation, Rami Adulrahman, l’information vient de combattants de Daech situés dans l’est du pays, dans la province de Deir al-Zour. L’OSDH est une organisation sérieuse, qui donne régulièrement notamment les bilans des victimes civiles de la guerre en Syrie.

Mais ni la coalition, ni les forces irakiennes, ni les combattants kurdes n’ont pour l’heure confirmé la mort du chef de Daech. Seul Donald Trump s’est contenté d’un énigmatique : « De grandes victoires contre l’Etat islamique! » sur Twitter, faisant sûrement référence à la reprise de Mossoul par l’armée irakienne aidée de la coalition.

L’état-major américain a pour sa part dit « espérer que ce soit vrai ». La prudence est de mise, car comme le rappelle le chercheur Jean-Charles Brisard, ce n’est pas la première fois que la mort d’Abou Bakr al-Baghdadi est annoncée.




Emmanuel Macron : Ses propos sur les « 7 à 8 enfants par femme en Afrique » font polémique

À l’issue du sommet du G20 organisé à Hambourg en Allemagne, Emmanuel Macron a tenu une conférence de presse finale. Le président de la République a ainsi évoqué l’Afrique et les « 7 à 8 enfants par femme ». Des paroles relayées par « Politis » qui ont très vite suscité une vive polémique.

Au G20 Interrogé sur un plan Marshall pour l’Afrique, Emanuel Macron se lâche sur la fécondité des Africains. Le tollé médiatique des propos d’Emmanuel Macron est à la hauteur des réactions d’indignation et de condamnation sur les réseaux sociaux.

« Quand des pays ont encore aujourd’hui sept à huit enfants par femme, vous pouvez décider d’y dépenser des milliards d’euros, vous ne stabiliserez rien », a lancé Emmanuel Macron le 8 juillet lors du G20 en parlant des femmes africaines.

Répondant aux questions d’un journaliste ivoirien lors du sommet du G20 en Allemagne, Emmanuel Macron avait fait le lien entre le sous-développement de l’Afrique et l’explosion démographique sur le continent dans des propos qui rappellent le discours de Dakar de Nicolas Sarkozy. « Le défi de l’Afrique, c’est totalement différent, c’est beaucoup plus profond, c’est civilisationnel, aujourd’hui », a déclaré le président français.

Face à ses propos qualifiés en chœur de «racistes» par la presse anglo-saxonne, aucune grimace, aucun mot de Macky Sall, le président sénégalais, ou d’Alpha Condé, le président en exercice de l’Union africaine, qui encaissent le coup et ne pipent pas. Pire, au lendemain de cet «affront» contre le continent, aucun chef d’Etat ou haut responsable africain n’a répondu au président français.




Procès Laurent Gbagbo et Blé Goudé: le père d’une des victimes du marché d’Abobo fait des révélations

Le procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé prend une tournure peu à peu décisive. Hier, lundi 10 juillet, M. Bamba Mamadou, le père de l’une des femmes tuées à Abobo, le 3 mars 2011, s’est présenté à la barre des témoins.

Devant les juges de la Cour Pénale Internationale (CPI), il a fait de surprenantes révélations concernant le corps de sa fille défunte. Le témoin a affirmé que le corps de sa fille a disparu après son enterrement.

Bamba Mamadou est le père de Bamba Nashami, l’une des femmes tuées à Abobo, le 3 mars pendant la crise post-électorale de 2011. Ce lundi, il s’est exprimé devant la chambre de première instance 1 de la CPI, entant que témoin du procureur.

Bamba a déclaré que le corps de sa fille avait disparu à la suite de son enterrement. Il s’en est rendu compte un an plus tard, en se rendant pour la première fois sur la tombe de sa fille. Selon lui, lorsqu’il s’est rendu au cimetière d’Abobo, lieu où sa fille a été mise en terre, les choses avaient beaucoup changées. Mais après avoir retrouvé la tombe de sa fille, la pancarte indicative n’était plus là.

« Les gens du procureur sont venus et ils ont voulu voir la tombe de ma fille. Nous sommes au cimetière d’Abobo, mais le panneau n’était plus là. D’autres plaques étaient là, mais la plaque de ma fille n’était pas là. Je suis allé au District d’Abidjan avec le permis d’inhumer, même les enquêteurs sont allés là-bas, ils n’ont pas eu gain de cause », a déclaré le témoin Bamba Mamadou.

Jusqu’aujourd’hui, le témoin affirme ne pas savoir où se trouve le corps de sa fille défunte. « Je ne sais pas si c’est le corps de ma fille, mais seulement je les ai accompagnés au cimetière pour ça. J’ai signé un document les autorisant à l’exhumation de ma fille », a ajouté M. Bamba. Il a affirmé que c’est la cellule d’enquête du procureur qui a demandé à enlever le corps de sa fille.




Burkina Faso: La Croix rouge chez Simon Compaoré

Le Ministre d’Etat, Ministre de la Sécurité Simon Compaoré en audience le mardi 4 juillet 2017, le Délégué Régional sortant du Comité International de la Croix Rouge (CICR),Jean Jacques Tshamala.

« Je suis venu rendre une visite de courtoisie à Monsieur le Ministre et profiter lui présenter la personne qui doit me remplacer pour assurer l’intérim de la Délégation Régionale. Aussi, nous nous sommes féliciter mutuellement de la bonne collaboration à travers les actions que nous menons, et qui sont bien comprises et soutenues par les autorités », a dit M. Tshamala à sa sortie d’audience. Foi du Délégué Régional sortant du CICR, le ministre Simon Compaoré a salué la qualité de la coopération qui existe entre le CICR et le gouvernement Burkinabé. Une coopération qui, selon le nouveau intérimaire de la Délégation régionale va se poursuivre. « Je suis à une période très intéressante, car nous sommes en train de discuter de nos objectifs pour l’année prochaine. Et le Burkina Faso est important pour le CICR. Il y a une situation qui a effectivement évolué mais nous voyons que le pays est affecté par la violence régionale. Avec nos collègues des autres délégations, nous allons réfléchir sur comment apporter un soutien aux populations affectées par ces situations », a déclaré Pierre Ryter.
En rappel la Délégation Régionale du CICR est basée à Abidjan en République de Côte d’Ivoire.
La Direction de la Communication et de la Presse Ministérielle du Ministère de la Sécurité

Assemblée nationale : la loi modifiant la Haute Cour de Justice adoptée

Le projet de loi devant consacrer la modification de la Haute Cour de justice dans son fonctionnement et sa composition a été adopté ce 4 juillet 2017 par l’Assemblée nationale.

Elle vise à renforcer les garanties du procès équitable déterminé par le pacte international relatif aux droits civils et politiques et renforcer les droits de la défense et ceux des victimes. Il s’agit précisément de  prendre en compte le principe du double degré de juridiction.

Le projet de loi portant modification de la loi qui organise le fonctionnement et la composition de la Haute cour de justice a été adopté ce 4 juillet 2017 par 99 voix  à l’Hémicycle. 11 députés, du groupe parlementaire CDP, se sont abstenus.

 

L’on se rappelle que le Conseil constitutionnel avait donné raison aux avocat de la défense dans le procès des membres du dernier gouvernement Tiao qui avaient soulevé des exceptions d’inconstitutionnalité, entre autres, sur les articles 21 et 33  de la loi portant  composition et fonctionnement de la Haute cour de justice. Et c’est pour cette raison que ledit procès a été suspendu.

Par ailleurs, loi portant modification de la loi n°024/94/ADP du 24 mai 1994 portant Code de justice militaire a également été adoptée par 104 voix pour et 11 contre.




Les Nations Unies demandent la libération immédiate de Djibrill Bassolé

Le Groupe de travail onusien sur la détention arbitraire demande la libération du Général Djibril Bassolé. 

C’est ce qui ressort d’un document exclusif publié par nos confrères de la Lettre du continent ce 4 juillet 2017. Dans le texte daté du 30 juin, le Groupe de travail onusien sur la détention arbitraire, n’a délibéré qu’après une longue et méticuleuse procédure qui a consisté à écouter sur tous les aspects, la source des requêtes et le gouvernement burkinabè.

De go, dans son examen, le Groupe a relevé que le cas de Djibrill Y. Bassolé ne devait pas être connu de la justice militaire, mais d’une juridiction civile car au moment de son arrestation, l’ancien ministre avait un statut civil. En soumettant donc son cas à la justice militaire, a affirmé le Groupe, cela «viole son droit à un procès équitable de façon irrévocable»

Aux informations reçues sur cette détention de l’ancien ministre qui dure depuis bientôt deux ans suite à son accusation d’être impliqué dans le putsch de septembre 2015, le Groupe de travail a donné la latitude au gouvernement du Burkina Faso d’apporter toutes les clarifications en sa possession avant de procéder à l’examen du dossier.

Et dans le dispositif qui découle des avis adoptés lors de sa 78è session, l’instance a, entre autres, jugé arbitraire la privation de liberté de M. Bassolé et demande au Gouvernement burkinabè de remédier à la situation.

Pour le Groupe de travail sur les détentions arbitraires, la mesure approprié dans le cas d’espèce consisterait à la libération immédiate de Djibrill Y. Bassolé et à lui accorder le droit d’obtenir réparation, «conformément au droit international».

Dans sa procédure de suivi, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme fait savoir qu’il tient à l’œil les différentes parties dans l’exécution de sa demande, en les priant de l’informer de toutes les mesures prises pour l’application des recommandations formulées dans l’avis, en lui faisant savoir par exemple:  «Si M. Bassolé a été mis en liberté et le cas échéant à quelle date; si M. Bassolé a obtenu réparation notamment sous la forme d’une indemnisation; si la violation des droits de M. Bassolé a fait l’objet d’une enquête et le cas échéant, quelle a été l’issue de celle-ci; si le Burkina Faso a modifié sa législation ou sa pratique afin de les rendre conformes aux obligations mises à sa charge par le droit international dans le droit fil du présent avis; si d’autres mesures ont été prises en vue de donner suite au présent avis».

Le Groupe n’a pas manqué de rappeler dans son avis, que «le Conseil des droits de l’homme a engagé tous les Etats à coopérer avec lui et les a priés de tenir compte de son avis, de faire le nécessaire pour remédier à la situation de toutes personnes arbitrairement privées de liberté et de l’informer des mesures prises à cette fin».

 




L’école saint Michel fait 100% au CEPE en 2017

C’est par des chants des récitations et des danses que les élèves de l’école primaire sainte Michèle se sont dit au revoir le samedi 24 JUIN 2016 en présence de leurs parents et encadreurs.
« Nous avons fait 100% au CEPE cette année et dans les classes intermédiaires la plus faible moyenne est de 7 / 10 ce qui nous donne assez de satisfaction » a confié la directrice de l’école.
Créer en 2012 l’école compte une garderie et un primaire. Les trois premiers de chaque classe ont été primés grâce aux partenaires de l’école.
Raison pour laquelle la directrice n’a cessé de dire merci à l’ensemble des partenaires de l’école que sont l’inspection Ouaga 12 pour son accompagnement tout au long de l’année et aussi l’association des parents d’élèves.
Pendant environ 1h les enfants ont montré leurs savoirs faire à l’aide de sketch, de ballet et des danses. C’est par un cocktail que les parents d’élèves ont communié avec leurs enfants avant de se dire au revoir et de se souhaiter de bonnes vacances.

 

Mali : ce que l’on sait de l’attaque qui a fait au moins deux morts à coté de Bamako

Des djihadistes ont attaqué dimanche un site touristique de la banlieue de Bamako, largement fréquenté par les étrangers. Deux personnes ont trouvé la mort, alors qu’une trentaine d’otages ont pu être libérés. Cinq assaillants ont été tué par les unités d’intervention maliennes.

Plus tôt dans l’après-midi, deux petits groupes d’assaillants, selon des témoignages concordants, ont attaqué l’établissement ; ce dernier est un petit village dont les maisons sont éparpillées dans les collines ; on y trouve une multitude de petits restaurants et de lieux de détente, avec des piscines.

« Les premiers assaillants sont arrivés très bien armés à la porte principale, a raconté Karim, un employé. Ils ont tiré en l’air alors avant de grimper vers les piscines. » Le ministre de la sécurité publique du Mali, le général Salif Traoré, qui a dénoncé une « attaque djihadiste », a par la suite confirmé ce scénario. Un autre employé de l’hôtel, Boubacar Konta, raconte avoir vu les assaillants brandir « leurs armes en l’air, crier Allah Akhbar, avant de tirer des rafales dans le ciel ».

« C’est une attaque jihadiste. Les forces spéciales maliennes sont intervenues », a déclaré le ministre malien de la Sécurité, Salif Traoré. Elles ont été appuyées dans leur assaut par les militaires de l’opération française antijihadiste Barkhane et de la mission de l’ONU (Minusma)